Les sociétés de crédit ont entamé depuis quelques jours une réflexion avec le ministère des finances pour étudier l'éventualité de relever le niveau minimal du reliquat de salaire, après paiement des mensualités de crédit, appelé communément «reste à vivre». Les sociétés de crédit ont entamé depuis quelques jours une réflexion avec le ministère des finances pour étudier l'éventualité de relever le niveau minimal du reliquat de salaire, après paiement des mensualités de crédit, appelé communément «reste à vivre». Depuis 1999, les sociétés de crédit n'ont pas le droit de laisser au client moins de 1 500 DH sur sa fiche de paie après remboursement de toutes les mensualités. Les professionnels envisagent aujourd'hui de relever ce niveau qui sera fixé sur la base de simulations réalisées actuellement par la Direction des rémunérations et de paiement des retraites (DRPP).