Amour… amour. Tant de gens répètent ce mot sans en sentir une parcelle. Ils disent être prêt à sacrifier leur prunelle, et hélas, sont crus par tant de sots. L'amour de nos jours n'est que plaisirs charnels, et les nobles sentiments ont abandonné les cœurs. On néglige les autres ; on ne compatis pas avec leurs pleurs, on ne joui pas de leur joie ; bref, on est devenus cruels. On se moque de Dieu, on se moque des gens, on court, essoufflé derrière l'argent, cette divinité des temps modernes qui a tant de fidèles, tant de victimes, et un pouvoir sans bornes. On voit la naissance d'un nouveau terrorisme, un terrorisme poussé par la cupidité, semant la destruction sur son passage, n'épargnant rien ni personne, ne comprenant qu'un seul langage… le profit… c'est le capitalisme.