J'bilou, mon ami, un jour m'a dit : « Elle a autant de silicone injecté dans ses s**** capables d'alimenter la fabrication de 377453 microprocesseurs. Elle, c'est la chanteuse ‘ses lèvres' (‘scuse : célèbre) : maigre, mince, chétive, svelte, etc (de son prénom traduit de l'arabe). Vous la connaissez ?! Sans doute oui, puisque malgré vous, elle a envahit notre petit écran (je n'ai pas encore d'écran plasma géant ! !) pour nous révéler la nouvelle nature de la chanson arabe et chercher à la concilier avec le nouveau mouvement culturel (de la culture des s***) : le streaptisme. Elle chante en voix rauque (non pas rock) dans l'une de ses chansons pornos : « C'est moi la maigre ! C'est moi ahhhhhhh... » Alors que personne ne lui avait demandé qui est-elle ! Cette chanson, je l'ai rebaptisée : ‘carte d'identité pornographique' pour être juste dans mes classifications, vu le sujet des paroles et le mode d'exécution un peu ‘sec' ‘si'. Je n'ai jamais vu de ma vie une chanson dont le sujet est la propre promotion de sa chanteuse. Cela dit, j'accepte qu'une chanteuse procède ainsi mais en gardant un certain minimum de respect pour sa personne et pour les pauvres téléspectateurs. Désormais, vous n'avez plus besoin de vos haut-parleurs pour écouter la chanson arabe, il vous suffit de regarder et d'imaginer (en absence de foi) des situations délicieuses et délicates : ces jolies libanaises et d'autres poupées arabes font le show du moulin rouge et montrent davantage un peu plus de leur beauté féminine en guise de produire de la bonne musique ! Je ne sais pas qui a voulu que notre art se transforme en séance d'exhibition et de provocation. Déjà cela rajoute trop d'huile sur le feu ardent qui est le désir des adolescents et montre aux adolescentes quoi faire pour être ‘IN'. ‘IN' où ? Certainement en enfer ! Puisque ce genre d'attitude n'est pas un modèle à imiter, d'autant plus que je compte de plus en plus, dans la rue, un nombre croissant de nombrils féminins et d'autres parties bien intimes du corps, qui apparaissent ; Les vêtements à leur tour commencent à se raccourcir comme si l'on connaît une pénurie mondiale de tissus. Demain, je te parlerai des portables ! » A demain alors avec J'bilou.