Les plages sont ouvertes au Maroc depuis plusieurs semaines. Avec l'allègement des restrictions, les Marocains pourront profiter de la mer, du soleil et du sable, après avoir passé une année mitigée avec la pandémie. L'occasion de retrouver nos profils préférés (ou non) d'adeptes de la plage. Entre les pros du bronzage, les voleurs de sandales ou encore les familles encombrantes, voici 10 profils que vous avez croisez ou que vous croiseriez cet été 2021. Celui ou celle qui garde son masque : Même en plein air et en respectant les distanciations sociales, certaines personnes ne veulent prendre absolument aucun risque quitte à avoir un bronzage spécial pandémie et de la sueur plein le visage. Une décision sage mais couteuse. Celui qui ne semble pas familier avec les distanciations sociales : La même catégorie qui croit aux théories du complot? Pour certains, l'allègement des restrictions semble être synonyme de la fin de la pandémie (si elle a déjà existé pour eux). Ainsi, certaines personnes n'hésitent pas à poser leur parasol à un mètre du tien, et à investir ton espace personnel. Le genre à éviter de toute urgence. Le télétravailleur : Catégorie rare mais qui a fait son apparition depuis le confinement. Pourquoi se priver d'une journée à la plage quand on peut emmener son ordinateur? Allier travail et plaisir n'a jamais été aussi agréable, mais attention aux contraintes! Le/la super bronzé(e) (ou brûlé(e)) : Celui ou celle qui est bien déterminé(e) à prendre du soleil après des mois et des mois de privation. Cette personne est facile à reconnaître. Elle est brune/orange et met de l'huile chaque 15 minutes. Désapprouvé par beaucoup, averti par personne. Ces types sont convaincus que toute forme d'écran solaire nuira à leur capacité à profiter du soleil et que les coups de soleil seront certainement grandioses avec un peu d'après-soleil. Celui qui a peur de l'eau (et qui croit qu'elle est contaminée) : Regarder la mer de loin lui suffit amplement. Loin d'assumer sa phobie de l'eau quand on lui demande d'aller nager, il se justifie en affirmant avoir lu un article (sûrement du Gorafi) qui explique que la contamination peut se faire à travers l'eau. On y croit! Les familles encombrantes : Celles qui malgré le danger de la pandémie et les restrictions qui va avec viennent par nombre de 10 te donnent l'impression qu'ils vont camper pendant une semaine. Ils sont bien équipés et ramènent tout leur confort : table, chaises, bota, tajine et même coussins. Entre les enfants qui courent partout, les parents qui hurlent et les odeurs culinaires, vous ne pourrez définitivement pas siester. Les voleurs de sandales : Le Covid-19 n'a visiblement pas fait disparaître les mauvaises habitudes de certains qui attendent que vous alliez vous baigner pour vous piquer vos sandales, et si vous avez de la chance, votre serviette aussi. Une pratique qui continue de frapper dans les plages marocaines et qui vous laissera bredouille, marchant pieds nus sur le sable brûlant. Les pseudos sportifs maladroits : C'est les retours des beach sportifs ou ceux qui trouvent ingénieux de se mettre en ligne devant la mer pour exposer leur plastique et balancer occasionnellement deux ou trois ballons sur la figure sans pour autant s'excuser. La brigade du jugement : Elle ne nous avait pas manqué. A contrario de la fashion police, la brigade du jugement vous flingue du regard pour avoir osé porter un maillot à la plage et n'hésitera pas à vous lancer deux trois remarques en bonus. Les pervers aux mains baladeuses : Après avoir été privés de plage, ils sont de retour, pour notre plus grand malheur. A l'instar des dragueurs à deux sous qui vous lance des « pss pss lghzala » mais qui restent quand même soft, ce genre répulsif de personne va plus loin dans la drague, vous harcèlent, vous suivent à l'eau et attendent que vous plongiez pour glisser leurs mains incognito. Le genre qu'il fallait garder enfermé éternellement. Celui qui se prend pour un DJ : Non, nous ne sommes pas à Ibiza, et pourtant cela ne l'empêche pas d'amener sa radio, comme si la plage lui appartient automatiquement. Devoir se coltiner du Saad Lamjarred pendant deux heures, non merci. L'accro aux réseaux sociaux : A coup de hashtags, ce type de personne n'est pas venu profiter du bon temps mais pour remplir son feed Instagram. A coup de story, la seule lumière qui lui traverse le visage est celle de son écran.