L'ancien international marocain, Adel Taarabt coûte cher à son club portugais, Benefica de Lisbonne. Recruté par en 2015, il a à son actif 18 sélections et 4 buts. Pas de quoi réjouir les Aguias, qui, incapables de le transférer définitivement, espèrent que le mercato hivernal 2019 mettra un terme à cette situation Selon la presse spécialisée, la formation lisboète vit un calvaire avec l'international marocain qui a passé ses deux dernières saisons en prêt au Genoa. Rentré au Portugal cet été, Taarabt a reçu un message clair de la part de ses dirigeants : il n'a pas sa place à Benfica. Annoncé à Amiens, le milieu offensif était surtout envoyé du côté de Nantes. « J'ai vraiment envie de revenir en France et j'ai eu un contact top avec le président Kita. Il n'a pas peur de te dire les choses en face, et j'aime ça », avait-il d'ailleurs déclaré avant que l'affaire ne capote finalement. Resté dans la capitale lusitanienne, Taarabt n'enchante pas son club et la « résolution de son cas » est une priorité pour Benfica qui souhaite absolument trouver une porte de sortie au Marocain lors du prochain marché des transferts de janvier 2019. 193.000 euros par mois sans jouer Inscrit pourtant par le Benfica en championnat au cas où, il n'entre pas du tout dans les plans de Rui Vitoria. Ce dernier devrait d'ailleurs l'envoyer dans l'équipe réserve, histoire de ne pas perdre complètement le rythme. Aujourd'hui, le quotidien de l'ancien Lensois coûte cher aux Aguias. Taarabt s'entraîne seul à Seixal (lieu où se trouve le centre d'entraînement des Aguias) et continue de séjourner dans un hôtel de Lisbonne. Le tout moyennant un salaire de 193.000 euros par mois. Un constat qui ne plaît pas du tout au comptable du club puisque si l'actuel co-leader du championnat ne trouve pas de porte de sortie convenable à son joueur d'ici la fin de son contrat (2020), celui-ci percevra un montant total de 4,6 millions d'euros correspondant aux deux dernières années de contrat qu'il lui reste à toucher.