Le Secrétaire d'Etat auprès du Ministre de l'Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Chargé de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, M. Khalid SAMADI a présidé, le jeudi 29 mars les travaux de la réunion de la Commission Nationale de Coordination de l'Enseignement Supérieur (CNCES). Point phare à l'ordre du jour, les résultats de l'examen des demandes de reconnaissance par l'Etat des établissements d'enseignement supérieur privé. Bonne nouvelle pour les futurs lauréats de ces sept nouveaux établissements. Ils pourront décrocher des diplômes équivalents. Sept écoles privées ont obtenu la reconnaissance par l'Etat. La décision d'octroyer ce label a été annoncée ce jeudi par la Commission nationale de coordination de l'enseignement supérieur (Cnaces). Elle concerne l'EMSI (Ecole marocaine des sciences de l'ingénieur) Casablanca EMSI Marrakech - EMSI Rabat, l'ESTEM (Ecole supérieure en ingénierie de l'information, télécommunication, management et génie civil) Casablanca, Sup de Co Marrakech, IGA Casablanca (Institut supérieur du génie appliqué), et HEM Casablanca (avec annexes). Cette décision porte ainsi à seize le total des établissements reconnus. L'Université internationale de Rabat (UIR), a été la première à recevoir ce précieux sésame en 2016. Dans le cadre de cette même réunion, la commission a par ailleurs passé en revue plusieurs points dont notamment les résultats de l'évaluation des demandes d'accréditation des filières de formation de l'enseignement supérieur public et privé au titre de l'année 2018, les projets des textes réglementaires relatifs aux établissements universitaires et aux établissements d'enseignement supérieur ne relevant pas des universités, le projet de transformation de la Faculté Chariaâ- Es Semara en une Faculté Polydisciplinaire, les demandes d'autorisation relatives à l'ouverture des établissements d'enseignement supérieur privé ou créés dans le cadre du partenariat, au changement des dénominations et sièges de certains établissements, ainsi que le retrait des autorisations d'ouverture de certains établissements d'enseignement supérieur privé.