* Le risque des impayés constitue lune des principales inquiétudes des dirigeants dentreprise. * Action Recouvrement offre aux entreprises la possibilité dexternaliser leur gestion des créances impayées. La crise que vient de traverser léconomie mondiale, et qui est loin de sêtre complètement dissipée, a mis un accent particulier sur la problématique du recouvrement. «Il est clair que les risques dimpayés menacent la pérennité de lentreprise qui na pas les moyens dy faire face», insiste Jean-Cristophe Batle, Directeur général dEuler Hermes Acmar, spécialiste de lassurance-crédit et du recouvrement. Selon la même source, les créances clients représentent en moyenne 35% de lactif du bilan des entreprises, tandis que 19% des dirigeants des entreprises considèrent aujourdhui que le risque dimpayés comme le plus inquiétant. Par ailleurs, selon les statistiques de lassureur-crédit, 70% des entreprises admettent être confrontées dans leur vie à des impayés, surtout lorsque lactivité de celles-ci se base sur des échanges commerciaux avec des pays dont la situation économique, voire politique, nest pas des plus propices. Cest dailleurs dans ce sens quEuler Hermes Acmar vient de décliner au Maroc son offre de service «Action Recouvrement». Il sagit en fait dun produit exclusivement réservé au recouvrement de créances impayées au Maroc et à létranger, «contrairement à laffacturage qui, lui, impose aux entreprises de souscrire à dautres offres de produits financiers en parallèle», précise JC Batle. Ainsi, la multinationale permet à ses clients, à travers Action Recouvrement, de capitaliser sur son expérience dans les 50 pays où elle est présente grâce à un réseau de correspondants judiciaires. Le management du groupe annonce également que son produit prend en charge lensemble des démarches amiables et judiciaires en cas de litige et permet aux clients de disposer dun suivi régulier de lavancement des dossiers. Au niveau tarifaire, Euler Hermes Acmar prévoit une tarification basée sur un pourcentage sur les sommes récupérées, avec un taux allant de 10% à 14%, mais se basant sur un principe de tranches dégressives.