Les actionnaires de Facebook ont mis à l'ordre du jour, la restriction de certains pouvoirs de Mark Zuckerberg. Le conseil d'administration estime que ce pouvoir de majorité est un risque, car en cas de départ de l'entreprise, Mark Zuckerberg continuerait d'en avoir le contrôle. Le PDG de Facebook a su conserver un contrôle absolu de son entreprise depuis sa création en 2004 et malgré son entrée en bourse, aujourd'hui il détient 53,8% des parts de l'entreprise ce qui le place en position d'actionnaire majoritaire avec un droit particulier, celui du vote majoritaire. À noter que c'est ce droit que souhaite lui retirer le conseil d'administration, évoquant deux scénarios qui seraient ingérables pour le bien-être de l'entreprise. En cas de démission de Mark Zuckerberg, celui-ci pourrait toujours faire la pluie et le beau temps au sein du réseau social. En cas de décès, sa descendance hériterait de ce pouvoir qu'il serait alors impossible de quitter, tant que son ou ses enfants ne seraient pas majeurs.