Elle la considère comme allant «à l'encontre des libertés fondamentales», ce qui justifie en partie le placement de la France sur la liste des «Pays sous surveillance» dans son dernier rapport sur les ennemis d'Internet. RSF appuie son propos par les décisions de différentes instances internationales (en particulier en Europe) qui reconnaissent Internet comme un droit fondamental, et les critiques de la CNIL sur la gestion des données privées des internautes par la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (qui a en réalité surtout critiqué TMG, le prestataire des ayants droit chargé de collecter les adresses IP des internautes).