En plus d'exposer certaines données personnelles contre votre volonté, Facebook pourrait être un repère à malwares dangereux pour ses 500 millions d'utilisateurs. Selon l'éditeur de sécurité IT BitDefender, un membre de Facebook sur 5 a involontairement été la victime d'un vers, cheval de Troie ou autre virus. Ainsi, pour 20% des utilisateurs du réseau social, leur fil de nouvelles («news feeds») aurait servi à transmettre un lien malveillant. Pour établir ces statistiques, BitDefender a passé au crible quelque 17 millions de messages provenant de 14.000 comptes Facebook, relayés par son application gratuite Safego. BitDefender ajoute que 60% des malwares détectés par Safego proviennent d'applications tierces, proposant d'accéder à des vidéos, à des jeux gratuits ou à de nouvelles fonctionnalités Facebook.