Une jeune femme, âgée de trente ans, s'est donné la mort, lundi dernier, chez elle, au douar Bakhir relevant de la commune rurale Aït Âmira dans la province de Chtouka Aït Baha. Réveillés le matin, les membres de sa famille l'ont découverte, corps sans vie, pendue à une corde accrochée à une barre de la fenêtre. Son cadavre a été évacué vers la morgue de l'hôpital régional Hassan II, à Agadir, afin d'être autopsié. La veille, dimanche 22 septembre, au début de l'après-midi, un lycéen de dix-sept ans poursuivant ses études en première année du baccalauréat, a également mis fin à sa vie chez lui dans la commune rurale Oued El Bour relevant de la province de Chichaoua. Cet adolescent a également été découvert par sa famille pendu à une corde accrochée au plafond d'une chambre. Son cadavre a été évacué vers la morgue de l'hôpital Ibn Tofaïl, à Marrakech. Des enquêtes ont été diligentées par les éléments de la gendarmerie royale afin de déterminer les tenants et les aboutissants de ces drames.