Deux nouveaux « takfiristes » de la Salafiya Jihadia ont été traduits devant le parquet général près la Cour d'appel de Casablanca, après avoir été arrêtés lors d'une descente de police dans leurs fiefs à Casablanca, notamment Douar Sekouila et Sidi Moumen. Deux nouveaux « takfiristes » de la Salafiya Jihadia ont été traduits devant le parquet général près la Cour d'appel de Casablanca, après avoir été arrêtés lors d'une descente de police dans leurs fiefs à Casablanca, notamment Douar Sekouila et Sidi Moumen. Au départ, la police judiciaire de Hay Hassani-Aïn Chok enquêtait sur six membres de ce mouvement intégriste. Ces derniers ont été arrêtés et déférés devant la parquet général qui a décidé de les renvoyer à la police pour complément d'enquête. Selon les conclusions de la police, les deux « takfiristes » gardés en détention préventive par le parquet général étaient en relation avec les membres de la Salafiya Jihadia, impliqués et condamnés dans le cadre des attentats-suicides du 16 mai à Casablanca.