Dans une lettre ouverte, adressée au Premier ministre Driss Jettou, la Fédération nationale de la minoterie a fait part des effets «dévastateurs que recèle la crise du secteur meunier». Motif : le non-parachèvement de la libéralisation ou, au moins, l'adoption de mesures transitoires de nature à permettre au secteur de survivre dans l'attente de cette échéance. Dans une lettre ouverte, adressée au Premier ministre Driss Jettou, la Fédération nationale de la minoterie a fait part des effets «dévastateurs que recèle la crise du secteur meunier». Motif : le non-parachèvement de la libéralisation ou, au moins, l'adoption de mesures transitoires de nature à permettre au secteur de survivre dans l'attente de cette échéance. Toutefois, la fédération n'a pas manqué de hausser le ton. «Nous vous avons adressé, depuis votre entrée en fonction, cinq demandes d'audiences, restées sans suite. Et c'est en désespoir de cause que la représentation professionnelle s'adresse à la presse», est-il mentionné dans la lettre de la FNM.