La défunte, âgée de soixante-quatre ans, a été découverte chez elle corps sans vie, avec une grave blessure au niveau du cou. C'était le samedi matin, 9 septembre, quand le cadavre d'une mère de famille a été découvert chez elle au quartier Daoudiate, à Marrakech. Certes, les limiers de la police judiciaire relevant de la sûreté préfectorale de la cité ocre qui se sont dépêchés sur la scène du crime ont mis l'index sur son fils et un étudiant universitaire qui seraient soumis aux interrogatoires. Mais, dans un communiqué rendu public dimanche dernier, la préfecture de police de Marrakech explique que les éléments de la PJ et leurs collègues de la scientifique poursuivent leurs investigations sur le terrain et au laboratoire de la police. La préfecture de police ajoute que ces investigations sont menées sous la supervision du parquet général près la Cour d'appel. Et le cadavre a été évacué vers la morgue de l'hôpital Ibn Tofaïl afin d'être autopsié pour déterminer plus précisément les causes de la mort. En effet, la défunte, âgée de soixante-quatre ans, a été découverte chez elle corps sans vie, avec une grave blessure au niveau du cou. L'un de ses deux enfants, un agent de sécurité dans un hôpital, demeure chez elle, alors que l'autre, qui est menuisier, réside un peu plus loin, en compagnie de sa propre famille. Toutefois, chez elle, les enquêteurs ont remarqué deux locataires, un enseignant et un étudiant universitaire. Seulement, plusieurs doutes planaient sur ce dernier, bien qu'il nie avoir la moindre relation avec le meurtre de cette femme qui jouissait d'une bonne réputation.