Depuis qu'il a été «débarqué» du gouvernement, suite au léger remaniement ministériel du 8 juin 2004, Mohamed Aujjar du RNI file du mauvais coton. Le téléphone ne sonne plus aussi fréquemment que lorsqu'il était dans le jeu du pouvoir en tant que ministre des droits de l'Homme. Depuis qu'il a été «débarqué» du gouvernement, suite au léger remaniement ministériel du 8 juin 2004, Mohamed Aujjar du RNI file du mauvais coton. Le téléphone ne sonne plus aussi fréquemment que lorsqu'il était dans le jeu du pouvoir en tant que ministre des droits de l'Homme. Les amis se font de plus en plus rares aussi. En attendant un vrai travail à plein-temps, M. Aujjar essaie, sans grand succès, de monter les cadres du RNI les uns contre les autres. Le président Ahmed Osmane, qui s'est aperçu des agissements de son ancien préféré, lui a tout simplement tourné le dos. Aux dernières nouvelles, M Aujjar, qui ne désespère pas de recevoir le coup de fil providentiel, convoiterait le poste de président du Conseil consultatif des droits de l'Homme (CCDH), devenu vacant depuis la nomination il y a quelques semaines de Omar Azzimane ambassadeur du Maroc à Madrid.