Longs métrages et films documentaires au menu de la 23ème édition Les préparatifs de la 23ème édition du Festival international du cinéma méditerranéen de Tétouan vont bon train. Prévue du 25 mars au 1er avril, cette édition connaîtra l'organisation de deux compétitions. La première est consacrée aux longs métrages alors que la deuxième est dédiée aux films documentaires. Dans la catégorie long métrage, douze films sont en lice pour le Prix Tamouda d'Or, le prix spécial du jury et le prix première œuvre. On retrouve ainsi «Paris la blanche» de Lidia Terki (France), La «puerta abierta» de Marina Seresesky (Espagne), «Tramontane de Vatche» de Boulghourjian (Liban), «Demain dès l'Aube» de Lotfi Achour (Tunisie- France), «Indivisibili» d'Edoardo De Angelis (Italie), «A Good Wife» de Karanović (Serbie-Bosnia-Croatia), «Amerika Square» de Yannis Sakaridis (Grèce), «Godless» de Ralitza Petrova (Bulgarie- Danemark-France), «Park» de Sofia Exarchou (Grèce-Pologne), «My Father's Wings» de Kivanc Sezer (Turquie), «Mawlana» d'Ahmed Majdi Ali (Egypte) et «Headbang Lullab» de Hicham Lasri (Maroc). Selon les organisateurs, le jury du long métrage sera présidé par le réalisateur égyptien Yousry Nasrallah. Il sera accompagné de l'actrice espagnole Cristina Plazas, du réalisateur grec Panos Karkanevatos, de la journaliste et critique italienne Cristiana Paterno, du critique français Francis Bordat, de l'actrice ivoirienne Kadhy Touré et de la journaliste marocaine Fatima Loukili. En ce qui concerne la catégorie documentaire, douze films sont en lice pour le prix du festival. Il y a lieu de citer : «Islam pour mémoire» de Bénédicte Pagnot (France), «Delta Park» de Karine Devilliers et «Mario» de Brenta (Belgique-Italie), «Hizam» de Hamid Benam (Algérie-France), «Histoire de Sanae» de Rogena Bassaly (Egypte), «Un dia vi 10 000 elefantes» d'Alex Guimer et Juan Pajares (Espagne), «La terre abandonnée» de Gilles Laurent (Belgique), «Bouchra: rêves en mouvement» de Khalid El Hasnaoui (Maroc) et «Asphalt» d'Ali Hammoud (Liban). Présidé par le cinéaste français Thomas Bauer, le jury documentaire est composé de la critique italienne Patrizia Pistagnezi, de la réalisatrice espagnole Fatima Luzardo, de la chercheuse belge Annick Ghijzelings et de l'écrivain marocain Mohamed Chouika.