La ministre française de la Culture, Rachida Dati, a effectué une visite historique dans les provinces du Sud du Royaume du Maroc. Cette visite a suscité un grand intérêt tant au niveau local qu'international. Bien qu'aucune réaction ou déclaration n'ait été émise par les pays africains ou par la communauté internationale à ce sujet, l'Algérie a été la seule à exprimer ses objections et ses critiques virulentes. Ce que l'Algérie doit comprendre, c'est que les provinces du Sud du Maroc connaissent depuis de nombreuses années un développement remarquable dans divers domaines, allant des infrastructures modernes aux vastes projets de développement réalisés grâce à d'importants investissements visant à améliorer la vie des citoyens de ces régions. Ce progrès se traduit par des projets durables qui reflètent l'engagement du gouvernement marocain à développer ces territoires et à les intégrer dans le processus global de développement national. Il convient de souligner que cette avancée et cette prospérité dans les provinces du Sud ne relèvent pas seulement d'une politique de développement économique, mais témoignent également de la volonté du Royaume de renforcer la stabilité et le bien-être de sa population. C'est un message clair adressé à l'Algérie, qui, de son côté, continue de consacrer ses ressources à des initiatives opposées, tentant ainsi d'entraver cette dynamique positive. Pendant que le peuple algérien est privé de ses droits économiques et sociaux les plus fondamentaux en raison des politiques internes, le Royaume du Maroc reste résolument engagé dans l'investissement en faveur de ses citoyens et de leur avenir. Le message qui doit être entendu de tous est que les provinces du Sud ne sont pas seulement une partie intégrante du Maroc, mais aussi un modèle vivant de développement et de progrès qui ne peut être ignoré ni combattu, quelles que soient les tentatives visant à l'affaiblir.