On ne regrettera jamais le fait d'avoir choisi cette année, de tenir la 38ème édition du Trophée Hassan II et de la 17ème édition de la Coupe Lalla Meriem de Golf, à Agadir, organisées sous le Haut Patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, du 30 mars au 3 avril 2011. «L'année 2011 sera celle du golf, par excellence et Agadir se prête entièrement à ce défi pour drainer le maximum de clientèle haute de gamme», avait promis, Abdelhamid Addou, Directeur Général de l'Office National Marocain de Tourisme (ONMT), lors du point de presse tenu à l'hôtel Atlas Royal d'Agadir, à l'occasion du lancement des vols de la Norvegian Compagny Shuttle, en provenance de trois villes scandinaves (Copenhague, Oslo, Orlando), pour une fréquence de 9 dessertes hebdomadaires à destination de Marrakech et d'Agadir. En effet, les infrastructures golfiques de la capitale du Souss, en particulier Golf Palais Royal, Golf du Soleil…présentent toutes les normes compétitives et luxueuses requises pour abriter et régaler les visites les plus huppées de la planète. Cette nouvelle manche du prestigieux trophée Hassan II et de fameuse coupe Lalla Meriem du golf aura tenu toutes ses promesses, aussi bien au niveau de l'organisation que de la qualité des confrontations, menées de bout en bout par de grands compétiteurs de renommée mondiale. Au terme de ces tournois qui ont retenu en haleine tous les adeptes de cet élégant sport, SAR le Prince Moulay Rachid a procédé, dimanche dernier, à la remise du prix de la Coupe Lalla Meryem à la vainqueur, la Slovaque Zuzana Kamasova et du Prix du Trophée Hassan II de Golf au vainqueur, l'Anglais David Horsey. Son Altesse Royale a également remis les 2ème et 3ème prix du Trophée Hassan II et de la Coupe Lalla Meryem ainsi que les premiers prix net et brut des amateurs de l'Alliance ProAm du Trophée Hassan II de Golf et de la Friendship Cup. Comme prévu, la bataille pour remporter le sacre au Trophée Hassan II a été rude. Co-leader à entamer le dernier tour en compagnie du tenant du titre gallois, Rhys Davies, il a fallu à David Horsey deux trous de play-off pour s'emparer de la tête du classement. Dans un barrage à trois avec Davies et le Sud-Africain Jaco Van Zyl, l'Anglais a renversé la tendance, grâce à un birdie sur son deuxième passage au 18ème trou, remportant ainsi sa 2ème victoire sur le circuit. En tête depuis le début de la course, Horsey a manqué de perdre le titre suite à un double bogey au trou numéro 18. Au final, le Gallois, Rhys Davies a manqué un putt pour concéder un bogey sur le dernier trou. Avec un 3ème homme, le Sud-Africain Jaco Van Zyl, les deux golfeurs étaient à égalité avant de rendre une carte finale de 274, soit 13 coups en dessous du Par. Ce n'est que lors du play-off, qu'Horsey a repris le dessus, l'emportant grâce à un birdie lors du deuxième trou, un Par 4. Du côté des ladies, le spectacle était également au rendez-vous. Présente sur le circuit féminin européen depuis 2006, Zuzana Kamasova avait perdu sa carte l'an passé. Invitée à disputer la 17ème édition de la Coupe Lalla Meyrem de Golf, elle entre dans l'histoire en étant la 1ère Slovaque à remporter un tournoi professionnel. Maha Haddioui, l'unique joueuse marocaine de ce tournoi, est arrivée en 25eme position à l'issue de cette 17ème édition de la Coupe Lalla Meryem après un jeu honorable et de belles surprises durant toute la compétition. La jeune marocaine de pas plus de 22 ans a épaté l'assistance par son panache, tout au long de la compétition. Elle est créditée d'une carrière prometteuse, grâce à son ambition mise à contribution lors de ce tournoi où elle a côtoyé de grosses pointures en la matière. Enfin, au-delà de sa dimension sportive, l'édition d'Agadir à double version s'est particulièrement distinguée par son aspect touristique, fortement rehaussé par la splendeur des sites entre mer, soleil, embouchure, faune, flore…, en plus d'une logistique de haut niveau. Saoudi El Amalki Point de mire Dégage ! La conjoncture maghrébine et péri-maghrébine, imbibée de vents violents de liberté et de démocratie semble donner des ailes à la situation frénétique qui prévaut au sein de notre pays. Bien avant ces soubresauts surchauffés, les réformes nationales tous azimuts procréaient petit à petit, leurs moutures, depuis déjà presque deux décennies, au moment où les dictatures arabes versaient toujours dans le totalitarisme béat. Aujourd'hui, l'expression «dégage !» s'érige en mot d'ordre de toutes les rebellions contre les scélérats despotiques. L'engagement des peuples insurgés pour la dignité et le bien-être est si déterminant que le dégagement des malfrats tyranniques par la petite porte s'est déjà instaurée à grandes enjambées, dans nombre d'entités arabes en ébullition. La terminologie «dégage !», brandie à bâtons rompus, dans ces régions meurtries par l'oppression éhontée, est de plus en plus d'actualité et s'adresse au sens propre, plus spécialement aux régimes en place. Chez nous, ce slogan de rejet est utilisé non pas contre le système monarchique en parfaite synergie avec le peuple, mais dirigé contre un certain nombre de dysfonctionnements structurels et de manifestations comportementales qui entravent encore notre réel décollage vers des cieux davantage dignes et prospères. On dit alors «dégage !» aux mafieux de tout acabit, terrestres et maritimes qui continuent à gangrener la vie économique marocaine, aux impunités dont bénéficient des hors la loi intouchables qui rongent le tissu sociétal désabusé et révolté, aux malfrats insoucieux qui pillent les ressources de tous genres, aux faussaires des échéances électorales par le biais de la complicité et l'argent sale, aux fossoyeurs des prouesses nationales aux plans institutionnel, socioéconomique et culturel, aux corrupteurs qui affectent la moralité et la solvabilité des valeurs, aux arnaqueurs voraces de toutes les hautes sphères notables, tribales, ethniques, féodales, oligarchiques, aux extrémismes obscurantistes et fascistes qui déstabilisent la modération nationale éclairée et réaliste…A tous ceux-là qui jouissent du laxisme déconcertant du makhzen, qui causent la fracture sociale et hypothèquent le dessein national conforté par l'unicité et la symbiose, les jeunes et l'ensemble de la Nation profèrent à tue-tête : «Dégage !». Pour la séparation des Pouvoirs, la fin de l'Impunité, la suprématie de la Loi sur tous sans exception ni distinction. Le malheur c'est, quand on ne fait pas « dégager » toutes ces ivraies des vraies herbes en pleine gestation dans notre pays, on risque d'«engager» toutes les franges citoyennes de la Nation contre tout le système en voie des réformes profondes salvatrices, accusé dès lors, de soudoiement et d'impuissance. C'est cela le grand dilemme à délier ! Ne vaut-il pas mieux crucifier, une fois pour toutes, les véritables vermines qui rôdent impunément, sur l'autel de la modernité, de la libération et du progrès ? La mise en fonction des présentes réformes constitutionnelles, consistantes et agissantes soient-elles, passeraient, à coup sûr, par l'abolition systématique de toutes ces aberrations qui ne font que durer, à travers un total sursaut volontariste concret dont les dictions et les garanties proviennent assurément, du texte constitutionnel, soumis à la grande Autorité du peuple. S .E .A Pignon sur rue Mauvais voisinage A la localité de Tamraght, relevant de la commune rurale d'Aourir, à une quinzaine de kilomètres au nord d'Agadir, un habitant M.B vit le calvaire avec son voisin européen A.K. Ce dernier, sans se conformer nullement aux exigences du domaine public et au respect du bon voisinage, plante un jardin devant son voisin sans scrupule. Et quand ce dernier réagit devant cette infraction, il est victime d'insultes et d'injures proférées le voisin français, comme si cela se passait au temps du colonialisme. La victime s'est adressée, hier au procureur première instance d'Agadir pour que justice soit rétablie, d'autant plus que l'agresseur se montre menaçant à l'égard du plaignant Forum marocain pour le développement Dans le cadre des activités du deuxième forum de formation et du développement organisé par le Forum Marocain pour le Développent Culture et Dialogue des Civilisation à Agadir sous le slogan «des jeunes aspirent à l'avenir», le complexe culturel Mohamed Jamal Addora-Cité Dakhla-Agadir a vécu aujourd'hui mardi 22 mars 2011 l'animation de trois ateliers purement techniques. En effet, le premier atelier «l'écriture du scénario» animé par M. Abdellah Elmennani, a accueilli un groupe de jeunes professionnels, techniciens et étudiants qui ont exprimé leur volonté d'apprendre et d'enrichir leur savoir et fignoler leurs compétences dans le domaine. L'après-midi, les deux salles de réunions du complexe culturel ont accueilli deux ateliers :- Purement féminin, le premier atelier a permis à Mme Oulaya LEAFOU, spécialiste en médecine douce, d'entamer une discussion sur les différents points relatifs à la préservation de la peau. La salle était un espace de communication entre l'animatrice et les participantes qui ne cessent de remercier le comité d'organisation et leur demander d'organiser ce genre d'ateliers de façon hebdomadaire.- Le deuxième atelier qui concerne «l'industrie cinématographique» a accueilli plus de trente cinq participants qui ont pu créer leur propre climat de travail avec l'animateur M. Madani ESGHIR. Cependant, l'utilisation d'un matériel sophistiqué et des outils de travail professionnels a facilité la transmission du savoir et a laissé une bonne impression chez tous les bénéficiaires. A 19heures, la salle d'exposition du complexe était surpeuplée des jeunes assoiffés du cinéma amazigh. Plus de cinq cents téléspectateurs ont assisté à la projection et ont compris le message véhiculé par le film qui met en exergue la question de l'identité. Une question qui se pose dans plusieurs pays arabes et musulmans notamment le Maroc. S.E.A OPEM Echanges et débats fructueux Plus de 200 cadres de l'Organisation des Pionniers Enfants du Maroc (OPEM) se sont donné rendez-vous à Agadir, lors de ces dernières vacances scolaires, pour une rencontre de formation et de perfectionnement. Les participants à cette colonie ont eu droit, durant toute une semaine, à un programme aussi enrichissant que divertissant, joignant l'utile à l'agréable. Une ambiance bon enfant s'est vite installée au sein de ces jeunes, venus de tous les coins du royaume bénéficier de ce stage de haute qualité. Contacts, échanges, débats ont meublé de bout en bout ces journées, en compagnie de certains membres du bureau politiques et autres, notamment Abdelatif Ouammou, Mustapha Addichane et Rachid Roukbane qui ont surtout abordé des thématiques relatives à la citoyenneté et à la révision constitutionnelles, sujet de grande discussion nationale. De son côté, Abdelkader Ababou a consacré une séance à des exercices de théâtre, alors que d'autres en font autant dans des volets différents, pour redynamiser un groupe tout enthousiaste. Transport urbain Alsa tient bien les comptes, mais... Il faudrait être aveugle ou myope pour ne pas constater, avec satisfaction, que, depuis qu'Agadir lui a ouvert ses rues, avenues, boulevards et routes, Madame ALSA tient bien les comptes. Tout en accomplissant un travail impeccable. Chaque jour que Dieu fait, elle se lève avant le chant du coq et passe toute la journée, à transporter (et ramener) les Gadiris qui d'un quartier à un autre qui à son école, bureau, usine ou chez lui. Inlassablement et en toute sécurité. Et ce n'est qu'à 22h que les autobus de Dame ALSA regagnent leur case de départ. Tranquillement. Ses chauffeurs, contrairement à ceux de la RATAG, s'occupent pratiquement de tout. Outre la conduite en effet, ils ouvrent et referment les portières, rendent la monnaie, répondent aux questions des usagers, vendent les cartes, veillent sur l'ordre à l'intérieur du bus. La petite boîte à merveille, à la portée de leur main droite, et qui, paraît-il, coûte les yeux de la tête, leur facilite la tâche. A chaque usager ayant payé son billet ou présenté sa carte, elle lui donne un ticket où sont écrits le lieu et l'heure de sa montée, le prix, le numéro du bus, les coordonnées de Dame ALSA, bref, des renseignements pour lui éviter toute mauvaise surprise.... Voici pour les mérites de Madame Transport Urbain. Place, maintenant, à ses défauts. Son côté radin ou “éco”, d'abord. Ses chauffeurs, toute la journée entre l'enclume de la conduite et les marteaux que sont les autres tâches, pour ne pas dire corvées, à accomplir:jouer, tour à tour, au vendeur de cartes et de billets, donc au receveur, au contrôleur, à l'encaisseur des insultes et injures de certaines “tripes chaudes”, insolentes et ignares, qui n'infestent les bus que pour exiger qu'on s'occupe utilement tout en méprisant les hommes utiles. Sans oublier les rôles de guides et d'agents de sécurité. Tout cela en échange de moins de 2500 DH, si l'on croit un ancien chauffeur à la RATAG. “On touchait mieux, en plus, nous étions aidés par des receveurs “. Et d'ajouter,amer : “on peut la traiter, ainsi que ses bus, de tous les mots et les maux, elle permettait, cependant, et contrairement à ALSA, à deux pères de famille, travaillant dans un même autobus (allusion au chauffeur et au receveur) de faire vivre décemment leurs enfants” Ensuite, en se passant des services du receveur, ALSA condamne, volontairement ou à son insu, le chauffeur à mettre plus de temps qu'il ne faudrait, à arriver à un endroit; le pauvre étant au four de la conduite et au moulin des autres “corvées”sus-mentionnées. En particulier, dans les heures de pointe, avec leur lot d'heurts et de malheurs, parfois. Mustapha BEHRI Organisation de l'arganier Constitution d'une fédération de la filière Depuis toujours, l'arganier a constitué dans le sud du royaume un patrimoine emblématique, de par sa symbolique séculaire et ses multiples apports diététiques et cosmétiques. L'entrée en lice des diverses exploitations et des aménagements constants a précipité la dégradation et la raréfaction de cet arbre de haute qualité. Pour assurer sa protection, aussi bien les départements institutionnels concernés que les organisations associatives et les organismes de coopération étrangère ont mis en place des démarches en termes de préservation, de reproduction et de maîtrise. Dans ce sens, la Fédération Interprofessionnelle Marocaine de la Filière d'Argane, Fimargane, a tenu son Assemblée générale constitutive samedi dernier au Beach Club d'Agadir et procédé à l'élection de son bureau exécutif. Fimargane vient donc couronner le processus d'organisation de la filière de l'arganier et de l'intégration de ses composantes : La Fédération nationale des associations provinciales des ayants droits usagers de l'arganier, qui regroupe les huit associations provinciales de la réserve de l'Arganier, l'Association nationale des coopératives d'argane (ANCA), l'Association marocaine de l'indication Géographique de l'huile d'Argane (Amigha), l'Association Professionnelle Marocaine des Sociétés de Production d'Argane, l'Association Nationale des Commerçants et Utilisateurs de l'huile d'Argane. La cérémonie d'ouverture a été marquée par les allocutions de nombre de partenaires dont notamment de Brahim Hafidi, président du conseil régional de Souss Massa Drâa, au cours de laquelle, en sa qualité également d'expert du secteur agricole, il mit en exergue les propriétés de cette production, sa détérioration et la nécessité de mettre en avant les mesures qui s'imposent pour sa réhabilitation dans l'équilibre du biosphère régionale. Fimargane se présentera désormais comme un espace de coordination et de concertation entre les différents partenaires actifs du secteur de l'Arganier. Elle devra concrétiser les orientations et directives tracées par la stratégie du Maroc vert et ce, en étant un interlocuteur des administrations et de l'Agence Nationale de Développement des Zones Oasiennes et de l'Arganier (Andzoa) créée par en Novembre 2009. La fédération inscrit sa mission principale dans le cadre de cette vision nationale, en vue du développement de la filière de l'Arganier. Cette conception sera déclinée par un plan d'action présentant des axes de développement du secteur et des solutions crédibles et réalistes aux préoccupations de tous les acteurs. Elle fera l'objet d'un contrat programme qui sera signé prochainement entre la Fimargane et le gouvernement. Après les mots introductifs, l'assistance a eu droit à deux exposés dont l'un s'est focalisé sur le rôle des organisations interprofessionnelles dans le développement des chaînes de production, alors que le second a relaté les tâches de l'association Marocaine de l'Indicateur Géographique de l'huile d'Argane. Après quoi, on soumit les statuts de la nouvelle instance fédératrice à l'appréciation des congressistes qui ont ratifié leur contenu et procédé, par la suite, à l'élection du conseil d'administration. S .E.A Calvaire d'une collégienne Suite à un malentendu, Abderrahim AF..., un père de famille n'a plus remis les pieds à la maison. Il a disparu, et avec lui, le sourire sur les lèvres de ses enfants, comme c'est le cas de Mina…une collégienne. Habituée, depuis qu'elle est venue au monde, à mal à digérer l'absence inexpliquée de son père : «Un homme qui fait régulièrement la prière à la mosquée» a-t-elle confié à une amie, le cœur déchiré, les yeux larmoyants. Elle a beau cherché une raison à son départ, elle n'en trouve aucune. Et cela la rend plus malheureuse encore et l'empêche de se concentrer sur ses études. Pis encore, elle ne dort plus la nuit de peur que son père revienne et ne trouve personne pour lui ouvrir la porte verrouillée de l'intérieur. Et quand il lui arrive parfois de fermer les yeux, elle fait des cauchemars. Comment se fait-il que des parents infligent-ils de telles tortures à leurs enfants ? Pourquoi faut-il toujours que ces derniers payent les frais des disputes, discordes et des bêtises de leurs parents ? Ignorent-ils les fâcheuses conséquences de leurs comportements sur le moral de leurs progénitures ? On n'abandonne pas comme ça des enfants qu'on a mis au monde, qu'on a nourris, aimés et entourés de toutes sortes d'affections et de tendresse. Il faut voir cette élève, l'air distrait, la mine pâle, les yeux rouges d'insomnie pour mesurer toute la souffrance qu'elle endure, en silence ! Il faut la voir, au lendemain des «portes ouvertes» organisées par son établissement, pour comprendre l'embarras dans lequel elle marine, seule, désarmée, incapable de justifier l'absence de son père à ses copains et copines. Comment lui demander de travailler en classe alors que son esprit est ailleurs, à sa recherche ? Jusqu'à quand continuera-t-elle à trouver des prétextes, à mentir, alors que la vérité est devant ses yeux, aussi claire que le ciel bleu du Maroc, mais combien dure à supporter ?Pourquoi faut-il que cela n'arrive qu'à elle ? Notre vœu est que ce père revienne à la maison qu'il a construite pour le bonheur et le bien-être de ses enfants, maintenant, orphelins de lui ! On n'abandonne pas comme ça des enfants qu'on a mis au monde, qu'on a nourris, aimés et entourés de toutes sortes d'affections et de tendresse. M.B A chaque jour suffit sa peine Agadir, première station balnéaire du royaume, se dote d'une belle plage, d'un sable soyeux et d'un soleil d'une clémence exquise. Malgré cet énorme potentiel naturel, la région se prive d'infrastructures nautiques. Pas de piscine olympique pour les sportifs, ni même publique pour les estivants. Excepté, néanmoins, le Yacht Club d'Agadir qui se débat depuis longtemps pour donner à cette zone une bouffée d'oxygène...sous l'eau. Ahmed Benouaden, porte flambeau de cette exception déploie tous les efforts au profit des jeunes d'Agadir et d'ailleurs, puisqu'il est président de la fédération royale marocaine de yachting. En attendant qu'on se penche à d'autres sports nautiques dans la ville, en particulier la natation qui manque atrocement, en dépit des atouts naturels