Fini les petits soldats de plombs, petits trains et constructions en légo. Dans le domaine de l'amusement chez les enfants et les grands, ce qui est « in », c'est les jeux vidéo ! « In » mais aussi et surtout «out» car c'est un fait avéré, le jeu est addictif au même titre que la drogue ou les jeux de hasard. Une addiction qui, des heures passées devant des jeux vidéos, a des répercussions inquiétantes sur la personne qui présente accro. Agressivité, violence, vie familiale perturbée, vie sociale inexistante… Mais c'est une certitude : la violence fait vendre. Cinquante pour cent des meilleures ventes de jeux vidéo présentent une violence extrême ! Pour l'industrie des jeux, cette donnée primordiale génère de considérables bénéfices. Aussi, et tandis que les dangers des médias violent sur le public sont démontrés depuis 1975, l'industrie de divertissement s'est employée à ce que cette vérité n'éclate pas au grand jour, intérêts économiques obligent… La démarche est similaire à celle de l'industrie du tabac, qui a longtemps tenté d'occulter la nocivité de la cigarette. Ainsi l'industrie du virtuel finance des études aboutissant à des conclusions différentes : sont pointés le fait que ce sont les individus violents (et non l'inverse), le manque de recul historique face à un phénomène trop contemporain…En somme, des moyens sont mis en œuvre pour allumer un contre-feu. De leur côté, et en toute indépendance, bon nombre de psychiatres et de psychanalystes sont, eux, plutôt favorable au virtuel comme source de défoulement. Le débat est donc loin d'être clos… A travers cettae adresse mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. C'est une page qui est faite pour vous et avec vous !