Amina Rachid, actrice Quel est votre rituel pendant le mois de ramadan ? Le ramadan est un mois de paix, de piété et d'adoration comme pour tout bon musulman. Cette période me pousse à me remettre en question et à revoir ma relation avec Dieu ainsi qu'avec mon entourage. C'est très rare que je travaille durant le mois de ramadan. Je passe mon temps bien évidemment en famille. J'essaye au maximum de réparer ma relation avec autrui et je passe mon temps à lire le coran, à faire de la cuisine et du sport. Quel est votre plat indispensable sur la table du ftour ? J'essaye de ne pas manger des aliments gras ou trop sucrés durant l'année, mais le ramadan m'empêche de suivre ce régime. Je ne me prive de rien, mais j'essaye de ne pas en abuser. Pour moi, les ‘Briwates aux crevettes' demeurent le plat privilégié de la rupture. Certains avancent que votre cote est en dégringolade ces derniers temps. Que leur répondrez-vous ? Je me demande bien si les artistes n'ont pas droit au repos. Actuellement, je suis en lecture de quelques scenarios. J'essaye de bien choisir mes rôles et je prends tout le temps qu'il faut pour bien le faire. J'y vais doucement, mais surement et j'espère que mon travail plaira au grand public. Quel regard portez-vous sur les émissions des nos télévisions durant ce mois sacré ? Je pense que c'est au grand public de juger. Que pensez-vous du milieu artistique actuel ? Personnellement, je pense que le milieu artistique en général a connu beaucoup d'évolution ces dernières années dans tous les domaines : cinéma, musique... Certes quelques petites failles persistent, mais ce n'est pas odieux. On est toujours au début, on recèle beaucoup de talent. Il faut les encourager pour avoir un bon résultat. Après tout, tout cela est fait pour le public et pour une seule et unique raison, les satisfaire. Bio-epress Amina Rachid a commencé sa carrière avec un long métrage en 1993 «A la recherche du mari de ma femme» (Al-bahth an zaouj imaraati) puis «Le Voleur de rêves» (1996) «Lalla Hobby» (1998), «Destin de femme» (1999), «Ruses de femmes» (Kaïd Ensa) (1999), «Elle est diabétique et hypertendue et elle refuse de crever»(2003), Jawhara, fille de prison (2005), «Elle est diabétique et hypertendue et elle refuse de crever (II) et Amours voilées –Hijab El Hob (2007), L'Histoire d'une rose (2007), Adieu mère (2008), Al Bayer et le troisième volet de «Elle est diabétique et hypertendue et elle refuse de crever». Quel est votre rituel pendant le mois de ramadan ? Le ramadan est un mois de paix, de piété et d'adoration comme pour tout bon musulman. Cette période me pousse à me remettre en question et à revoir ma relation avec Dieu ainsi qu'avec mon entourage. C'est très rare que je travaille durant le mois de ramadan. Je passe mon temps bien évidemment en famille. J'essaye au maximum de réparer ma relation avec autrui et je passe mon temps à lire le coran, à faire de la cuisine et du sport. Quel est votre plat indispensable sur la table du ftour ? J'essaye de ne pas manger des aliments gras ou trop sucrés durant l'année, mais le ramadan m'empêche de suivre ce régime. Je ne me prive de rien, mais j'essaye de ne pas en abuser. Pour moi, les ‘Briwates aux crevettes' demeurent le plat privilégié de la rupture. Certains avancent que votre cote est en dégringolade ces derniers temps. Que leur répondrez-vous ? Je me demande bien si les artistes n'ont pas droit au repos. Actuellement, je suis en lecture de quelques scenarios. J'essaye de bien choisir mes rôles et je prends tout le temps qu'il faut pour bien le faire. J'y vais doucement, mais surement et j'espère que mon travail plaira au grand public. Quel regard portez-vous sur les émissions des nos télévisions durant ce mois sacré ? Je pense que c'est au grand public de juger. Que pensez-vous du milieu artistique actuel ? Personnellement, je pense que le milieu artistique en général a connu beaucoup d'évolution ces dernières années dans tous les domaines : cinéma, musique... Certes quelques petites failles persistent, mais ce n'est pas odieux. On est toujours au début, on recèle beaucoup de talent. Il faut les encourager pour avoir un bon résultat. Après tout, tout cela est fait pour le public et pour une seule et unique raison, les satisfaire.