Durant pas moins de quatre jours d'affilée, une imposante délégation canarienne s'est entretenue avec son homologue marocaine autour d'une panoplie de projets de divers horizons. La Région Souss Massa Drâa et le Gouvernement Autonome des Iles Canaries mènent depuis des lustres une concertation institutionnelle aboutissant, dans le concret, à moult entreprises de coopération économique, culturelle et sociale. Ce long et fructueux processus a été ponctué, en décembre 2008, par la signature à Agadir d'un nouveau protocole d'accord fixant les domaines prioritaires de partenariat entre les deux associés dans les volets suivants : tourisme, éducation et formation, environnement et transport aérien. Cet accord de partenarial, a été consolidé en avril 2010, par la validation du programme de coopération transfrontalière Espagne- frontières éxtérieures (POCTEFEX1). De ce fait, huit projets de coopération ont bénéficié d'un cofinancement de 4.350.033 Euros, et touchant des secteurs tels que le commerce, le tourisme, l'aménagement du territoire, l'eau, les énergies renouvelables et la jeunesse et sports. En réponse à la visite de continuité et de renforcement de ces démarches, entamée, il y a quelques temps, par une équipe régionale de Souss Massa Drâa, conduite par le président Brahim Hafidi, la région Souss Massa Draa a donc reçu récemment, un important staff de ses partenaires hispaniques, du 26 au 29 septembre 2011. Ladite délégation est présidée par IIdefonso Socorro Quevedo, vice-ministre d'économie et Francisca Luengo Orol, vice-ministre de l'industrie et de l'énergie au gouvernement des Iles Canaries. L'objectif de cette mission se résume en : - La tenue de la réunion du comité de pilotage pour présenter le bilan des projets de coopération entre les deux parties (mardi 27 septembre 2011) - L'organisation des journées de Coopération Economique Souss-Massa-Draa/Canaries. (28/29 septembre 2011). La cérémonie de clôture, tenue avant-hier jeudi au siège de la Wilaya d'Agadir, a permis au président de la région SMD de faire le point sur l'importance de cette visite qui survient à point nommé. En effet, nombre d'opportunités, précise-t-il, se présentent en termes d'investissement, notamment la mise en place du projet Agropole dans le secteur de l'agriculture, appelé à tirer vers le haut cette économie au regard des performances acquise dans ce volet, en particulier l'export assuré par une haute technologie de pointe au niveau de la qualité et la traçabilité. Ensuite, le parc halieupolis du secteur de la pêche maritime dont les travaux d'exécution se hissent à un niveau fort satisfaisant. Brahim Hafidi n'a pas hésité, à cet effet, d'exhorter ses partenaires canariens de saisir ses possibilités, dans une optique win-win, d'autant plus que les assises institutionnelles et fonctionnelles ont été déjà mises en œuvre, lors des multiples rencontres, depuis déjà presque une décennie. Pour sa part, Scorro Quevedo, n'a pas manqué de manifester sa réjouissance devant la pérennité et la solidité des rapports de coopération qui unissent les deux partenaires maroco-canariens, marqués par le sérieux et la pondération, dans le cadre d'une coopération décentralisée édifiante. Il faut dire enfin que l'entrée en lice du secteur privé, vœu ardent des deux parties, insufflerait de réelles bouffées d'oxygène à cette dynamique de plus en plus agissante. Agadir-Saoudi El Amalki A vrai dire La grande responsabilité A l'instar de nombre de régions du royaume, Agadir s'affronte en permanence à des mouvements protestataires dans plusieurs secteurs. La problématique des constructions anarchiques occupe le devant de la scène de ces tensions ascendantes. Les incidents inhérents à l'affaire du quartier Aghroud à Bensergao relevant de la commune d'Agadir dont les populations sont privées d'autorisations de construire depuis belle lurette, reviennent en force. Les commissions d'enquête dépêchées sur les lieux pour superviser l'état d'évolution urbanistique, coïncidant avec le soulèvement populaire de lundi dernier, sont vouées, apparemment, à un dénouement salvateur. Egalement, l'intervention du maire d'Inezgane qui réclame, lors de la dernière session du conseil de la région Souss Massa Drâa, «l'octroi de pouvoir» aux communes afin de faire face à la prolifération des logements illicites, révèle, d'une part, l'incapacité des élus de juguler cette crise et, d'autre part, le laxisme des autorités locales pour des raisons d'ordre sécuritaire. Dan le même sillage, il est à signaler la situation bizarroïde dans laquelle se trouve le président de la commune rurale d'Oulad Dahou, appartenant à la préfecture d'Inezgane-Ait Melloul, qui, à maintes reprises, il n'a eu de cesse de crier scandale, du fait qu'il est interdit d'entrer dans son bureau communal, depuis que les citoyens, en mal de domicile, ont envahi le siège de la commune, plus de quatre mois durant. Les exemples de ce genre ne font que pulluler, à Drarga où la Caidat a été saccagée après les virulentes émeutes des habitants, à Aourir qui a brûle le torchon pendant des années, suite à des débandades urbanistiques ahurissantes, à Anza dont certains bidonvillois se sont payé le luxe de se ruer dans des maisons vides et verrouiller les serrures par de nouveaux cadenas…Les infractions de cette espèce sont devenues monnaie courante et se sont accentuées par les manifestations des jeunes dans la rue et les convulsions du printemps arabe. Cela ne doit pas continuer ! Cette profusion galopante est en passe de mettre en otage l'avenir de la région et des générations montantes. Jamais la responsabilité de tout un chacun, en particulier les décideurs de quelque statut que se soit, n'a été aussi délicate ? Qu'ils l'assument avec civisme et fermeté ! S.E.A Rentrée scolaire à Agadir Le retour à l'école Dans une ambiance plutôt joviale, le retour à l'école, après de longues vacances émaillées par le mois du carême, survenu en pleine période estivale, s'est accompli dans les différents établissements scolaires de la capitale du Souss, à l'instar de toutes les régions du royaume. Le coup d'emploi symbolique de cette opération a été donné, récemment, à l'école Bir Inzarane à Tikiouine, relevant de la commune urbaine d'Agadir, en présence de Mohamed Boussaid, Wali de la région Souss Massa Drâa, en compagnie d'un large parterre de personnalités de la préfecture, au côté des responsables éducatifs, initiateurs de cette rencontre inaugurale, notamment le directeur de l'Académie régionale de l'éducation et de la formation, Ali Berrad, le délégué préfectoral du ministère de tutelle, Lahmidi Lederbi et leurs collaborateurs respectifs. Cette cérémonie de lancement officiel de la nouvelle saison scolaire 2011/2012 a été marquée également par de diverses activités, en particulier la remise des cartables équipées dans le cadre de l'opération nationale “un million de cartables”, des vélos et des uniformes en direction des élèves démunis. Parallèlement, le cortège a visité quelques classes où les premières leçons sont prodiguées aux petits apprenants, ainsi que des consultations médicales opérées par un staff infirmier sur place, destinées aux enfants. Il faut bien dire que cette tournée munie d'actions sociales, dessinait des signes d'allégresse sur les visages de tous les bénéficiaires, en présence de leurs parents et dégageait pareillement des élans de motivation et de mobilisation pour le corps professoral et administratif. «C'est bien vous qui devez traduire toutes ces initiatives synergiques en réalité concrète en faveur de ces mômes rayonnants, en vous penchant sérieusement sur leur scolarité et leur éducation», indique le Wali de la région SMD, en s'adressant à ce staff au cours de cette cérémonie. Pour leur part, le délégué préfectoral et le directeur régional n'ont pas manqué d'exalter, au terme de cette cérémonie, le travail civique entrepris dans cette école dynamique et d'exhorter les constituantes de l'action pédagogique à davantage d'efforts pour concrétiser le slogan du département de l'éducation nationale, à savoir «Ensemble pour l'école de la réussite». En fait, la réussite de l'école ne saurait s'accomplir sans la mutualisation de toutes les énergies des composantes de la communauté de la préfecture. S.E.A. Education et formation Le lycée technique d'Agadir à l'honneur Le lycée technique Al Idrissi d'Agadir crève l'écran aussi bien par l'excellence des résultats obtenus lors de l'année scolaire 2010/2011 que par la qualité de l'apprentissage et de la conduite. Toutes les composantes éducatives et administratives de cet établissement de renom s'attellent à un travail de fond pour assurer une meilleure performance à tous les niveaux. L'exemplarité de cette institution, menue par un jeune proviseur, Ahmed Aarab, provient également par cet esprit synergétique régnant dans les divers départements, ainsi qu'une approche partenariale avec les différentes constituantes actives de la ville. Hommage donc à cette belle initiative. Ci-dessus les résultats qui traduisent bien cette singularité louable. Taux de réussite : 82,65 baccalauréat Taux de réussite examen de sortie BTS : 100% 7 majorants / 42 au niveau de toute la région SMD (42 = 14 FILIERES x 3 (1er 2ème 3ème) Le concours national des sciences et techniques (sciences de l'ingénieur Electriques) : le seul admis au Maroc est du lycée technique Al Idrissi, il s'appelle Youssef IZIKITNE (ci joint sa photo d'identité + une autre photo collective à Rabat ) Ce concours national concerne 8 admis: 2 Mathématiques 2 Physique chimie 2 Sciences de vie et terre 2 Sciences de l'ingénieur (1 Mécanique + 1 Electrique) S.E.A. Essai La causerie du grand ennui» Quand tu passes un après-midi solitaire chez toi, peinarde. Quand tu ne lis pas, ne visionnes rien d'intéressant, ne réfléchis à rien de particulièrement profond et vaques à une occupation aussi banale que d'épier le plafond... Alors, pour briser le silence qui s'amenuise, tu commences à papoter; Mais avec qui donc? Avec ton honorable personne bien sûr! Et à pleins poumons! Tu discoures des choses les plus stupides avec de grands airs de sérieux, tandis qu'un autre toi t'implore de mettre un peu d'eau dans ton vin car tu l'embarrasses devant la blancheur crémeuse des murs. Tu peux discourir de tout ce qui te chante, des détails les plus insignifiants, mais tâches d'y mettre du zèle et de l'éloquence. N'hésites pas à te répéter, à multiplier les pléonasmes, à étaler (devant qui?) toute l'étendue de ton lexique et à pratiquer toutes les prouesses linguistiques dont tu te sens capable. Tu peux même parler du vieux français pour te distinguer devant toi-même : Que ne m'allasse, avec mes innombrables Moy... Mauvaise idée. Mieux encore, tu peux analyser les mobiles qui t'ont poussée à t'adresser ainsi et avec tant de ferveur à toi-même, n'oublies pas d'user et d'abuser des arguments psycho-délirants pour étayer ton propos _La raison n'étant autre que la solitude, mais évite de te précipiter vers ton but et de faire ainsi une analyse circoncise, nous n'avons que trop de temps et de silence à remplir. Prenant l'ennui pour muse comme Mme de Charrière, tu pourras produire des œuvres d'une remarquable vacuité, d'une incomparable placidité, où rien ne se passe, rien ne trémousse et où prévaut uniquement cet arrière-goût fade des choses routinières et désuètes. Comme la surdité du monde t'offense de plus belle; comme ni coussins, ni murs, ni figurines ne répondent à tes propos nuancés des tons les plus enthousiastes, à ta bienveillance, à ta convenance et à l'étonnant plaisir que tu prends à parler; comme le langage ne s'est créée que dans la nécessité de plus en plus grandissante de communiquer avec autrui; comme tu te retrouves privée de toute altérité et que ta pauvre cervelle est toute emberlificotée de mots et d'expressions; enfin comme une altération naturelle à ton état d'interlocutrice de soi; tu vas te créer des personnages, des paires avec lesquels tu pourras converser sans aucune crainte d'être tournée en ridicule ou dévisagée par un silence obstiné, et de surcroît tout un monde de spectres et d'ombres beaucoup plus vivaces que la matière environnante, tellement sourde et aveugle à tes tirades tonitruantes et particulièrement animées. Ces spectres seront tes complices, ils ont avec toi des connivences intellectuelles et suivent tes discours avec le plus vif intérêt. Ils écoutent, certes, mais répliquent aussi : pour confirmer ton propos ou flatter ton intelligence, et même quand ils semblent te contrarier, ça n'est en vérité que pour mieux signifier leur accord en fin de phrase. Ils ont l'avantage d'être immensément profonds, et par cela même immensément creux, de sorte à ce qu'ils te renvoient l'écho de tes paroles; transfigurées, reformulées, mais dont la substance demeure identique. Dans tes moments de lucidité, tu sais bien que c'est en secours à ton besoin d'agrément et de sûreté que ton esprit a inventé cette tournure, à savoir le dédoublement. Comme si le point d'interrogation, sombre et tenace, apparaissait moins inquiétant contemplé à deux, à trois, à milles. Pour l'instant, tu baignes dans tes songes éveillés, et tu n'es clairement pas prête à te laisser surprendre par la crudité du monde. Tu as organisé une fête en ce délicieux après-midi printanier, tu y as convié nombre de tes amis distingués : Le Baron de Münchhausen, la très sensuelle et ténébreuse Alfiah, De Gouges, l'audacieuse, le Petit Prince, portant sa petite chaise, Hypathie, des volumes à grosses reliures sous le bras, Samantha du Bronx, Marcellus de Cléomènès, les filles en flammes et en fleurs de Watteau, Alhallaj, le regard extasié et j'en passe. Ils ne cessent de gesticuler, de déambuler dans ton salon qui s'est à l'inaccoutumée ouvert sur l'extérieur et a jeté ses bases sur un jardin indien prompt aux familiarités. Tout comme toi, ils apprécient les plaisirs simples : le pain d'orges et le bon vin. Tu étais surtout heureuse de la venue de Marcellus que tu pouvais enfin contempler en chair et en os, il étendait son corps lascif sous l'ombre d'un banian quand tu l'approchais à pas hésitants. Puis, te rappelant du prestige que t'accordait ton statut de maîtresse des lieux, tu te décidais et lui dispensais ta convivialité souveraine. Tout comme le reste des convives, il était réceptif à tout ce qui l'entourait, honoré par la gratuité de toute chose, à sa manière. L'ensemble de son corps respirait la grâce des lieux; ses cheveux accueillaient les éclats délicats du soleil, sa poitrine portait la poussière parfumée des figuiers, ses reins les ombres avenantes, ses bras mimaient subrepticement les brises fugaces, ses yeux somnolents reflétaient la nonchalance ambiante. Je suis certaine que, ne l'ayant qu'à peine effleuré, tu as pu goûter à ses côtés, dans le dense silence qui vous enrobait, l'un des plaisirs les plus beaux et les plus purs qui soient. Toute l'étendue de ce moment n'était qu'une promesse. Quelques soubresauts plus tard, Alfiah te le dérobait, forte de ses milles hommes et de ses milles nuits. Tu demeurais là embourbée dans ta maladresse. Au fond, tu te plais à ce genre de mises en scène : les chagrins d'amour “provoqués” ont occupé nombre de tes solitudes, si bien qu'il est difficile aujourd'hui _et même avec toute la méticulosité du monde_ de distinguer le réel du simulacre. Masochisme? Désir d'anéantissement? Il s'agissait plutôt, comme à chaque fois, de te placer au centre de quelque univers, quitte à ce que ce soient les affres les plus indigérables (même que ceux-ci disposent de la plus grande force justificative), et de pleurer l'attention du monde. On a rarement posé la question du rapport entre amour (cette complexité qu'on couvre d'un seul mot) et ennui. Il est frappant de voir comment une pensée amoureuse peut facilement combler une vacuité qui s'éternise, elle est le dernier recours quand toutes les pensées s'effritent et s'altèrent ainsi en des rêveries platoniques et inconsistantes; alors on en fabrique, à outrance, de toutes les trempes; il est presque impossible ici encore de peser la réalité du trouble, l'amour étant essentiellement un phénomène de croyance. La fête battait toujours son plein, l'ivresse avait gagné nombre des convives : Le Baron de Münchhausen se lançait dans des récits plus invraisemblables que jamais, les filles de Watteau avaient les joues encore plus enflammées, elle piétinaient précipitamment les étapes de l'évolution de l'Amour et s'adonnaient à des folies exhibitionnistes qui enthousiasmaient certains et en décontenançaient d'autres. De Gouges faisait une longue tirade, d'une violente éloquence, et s'animant de plus belle, réclamait impérieusement la décapitation de Robespierre, ennemi des valeurs de la République et des droits de la citoyenne. Gainsbarre était à quelques pas d'elle et semblait être dans son état naturel, Samantha à son cou, il gesticulait indistinctement SA marseillaise. Il mâchonnait le “Liberté, liberté chérie...” quand un jeune homme, inconnu de tous, parcouru l'allée principale désordonnément. L'aînée des filles de Watteau était à ses trousses, sa robe d'un bleu froid retroussée sur ses cuisses généreuses. Jeux ou véritable poursuite, qui sait! Tout se confondait sous les effets de la boisson et menaçait à chaque fois de basculer dans l'orgie sous les regards indignés des sept Saints de Marrakech. Mais bientôt, tu te fatiguais d'eux tous : ils commencèrent à pâlir, à perdre de leur éclat, avant de s'évanouir complètement. Accoudée au dernier banian qui subsistait, celui-là même sous lequel Marcellus et sa chaste nudité t'avaient quittée, tu te demandais s'il existait un bonheur sans artifices... En tout cas, tu ne le connaissais pas, pas encore, toi qui avait écoulé ces dernières heures à caresser des chimères. Un cri de coq au beau milieu de la nuit, c'est assez original. Il déchira les voiles qui jusque là s'étaient amassés devant mes yeux, et me surpris dans ma candeur, couchée sur mon lit à reluquer du noir, ce noir même qui s'était auparavant ravivé des couleurs nacrées de tes spectres. En refermant la porte de la chambre derrière moi, je pense bien qu'ils m'avaient parlée, et même bien avant, à leur retour devant lequel je n'avais même pas sourcillé; je parle bien de ces personnes réelles qui manquent cruellement de réalité pour nous. Je ne leur avais pas répondu, beaucoup trop absorbée par notre causerie. Comme tu le sais, je n'ai guère de confident plus sûr et plus loyal, car tu es moi, chair de ma chair et souffle de mon souffle, un simulacre d'altérité qui à l'instant s'est dissipé. Par Fedwa Ghanima Bouizit Desserte aérienne Lancement de cinq nouvelles lignes françaises Dans le cadre du partenariat CRT d'Agadir SMD/ Jet4You, portant sur le développement du tourisme dans la région Souss Massa Draa via le renforcement de la desserte aérienne vers la destination, la compagnie aérienne Jet4you, 1ère compagnie Low-Cost privée marocaine, développe son deuxième axe de croissance et s'engage davantage pour la promotion du tourisme national. A cet effet, Jet4you va se renforcer au départ d'Agadir en ouvrant 5 nouvelles routes sur Toulouse, Bordeaux, Nantes, Marseille et Lyon en plus de la desserte actuelle sur Paris Orly. Cet hiver, Jet4you ouvrira 5 nouvelles routes vers la France, à savoir : · Au départ d'Agadir, Jet4you desservira Lyon, Marseille, Bordeaux, Toulouse et Nantes en plus de la ligne existante Agadir-Paris Orly (ci-joint un tableau récapitulant le programme de vols W1112). A travers cette nouvelle expansion sur le marché français, Jet4you devient un opérateur majeur et multi-destinations au départ des principales villes de France vers la destination touristique d'Agadir. Grâce à la contractualisation de ses accords avec les principaux tours opérateurs français, dont ceux du Groupe TUI (Nouvelles Frontières, Marmara), Jet4you se hisse ainsi au 1er rang des transporteurs touristiques pour les produits packagés entre Agadir et la France. A noter que le marché français est le principal marché émetteur de touristes vers la destination d'Agadir. Ce développement au départ d'Agadir ne va pas se limiter uniquement sur le marché français, mais, dés la saison été 2012 prochaine, Jet4you œuvrera activement pour développer des routes sur les marchés Allemand (Jet4you a desservi cet été 2011 les villes de FRA, DUS et BSL), Irlandais (DUB), Nordique, Italien et UK. S.E.A.