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CCME : TRAITRE DE LA CAUSE DES MAROCAINS DE L'ETRANGER
Publié dans Maghreb Observateur le 02 - 02 - 2012

Les élections législatives anticipées de novembre 2011 ont rendu leur verdict et livré leurs indices et leurs enseignements. Dont acte. L'exclusion des MRE est sans appel. Leur angoisse s'est intensifiée et leur exclusion est vécue très difficilement. La confiance portée en la nouvelle constitution n'a pas porté ses fruits. Les espoirs perdus ont juste exacerbé le doute des MRE envers la classe politique marocaine. Ils sentent l'existence d'une main noire qui sabote la participation politique des MRE.
Main Noire représentée par un camp assez influent qui ne voulait pas que les MRE participent au législative du 25 novembre. Ceux qui les représentaient (AMEUR, YAZAMI, BOUSSOUF, AJBALI …….) passaient dans les médias pour argumenter solidement, pour démontrer, convaincre, et justifier l'exclusion de 3 millions des RME.
La journée du 25 Novembre 2011 est fatalement le symbole conjuré d'un rendez-vous, encore une fois, manqué avec l'Histoire du Maroc. Ce faux pas ne serait permis, ni pardonnée encore moins les faux prétextes destinés à tromper, à illusionner, à abuser la communauté Marocaine à l'Etranger.
Le MRE n'a plus confiance en la classe politique marocaine. Si on accepte les fondements juridiques de la participation politique des marocains résidant à
l'étranger, on admet aisément qu'il n'y a que de mauvaises raisons pour justifier leur exclusion politique.
Tollé constitutionnel
La nouvelle Constitution, plébiscitée le 1er juillet par le peuple marocain, a apporté des acquis importants au profit des membres de la communauté marocaine résidant à l'étranger. La nouvelle Constitution a réservé quatre articles au profit des MRE où figurent le droit de vote et de se porter candidat aux élections, ainsi que la représentativité dans certaines institutions étatiques.
Ces acquis importants de la nouvelle constitution sont ignorés par les parties politiques et en réalité, cette nouvelle constitution a permis à certains, d'ouvrir des perspectives nouvelles pour améliorer et développer leurs programmes et pour d'autres d'escalader des positions stratégiques.
L'institution royale, les partis politiques, le gouvernement, nos médias publics et la société civile se sont employés pendant des mois à appeler à voter
massivement pour cette constitution. Les MRE avaient été appelé à participer massivement à cet effort citoyen, pour lequel toutes les facilités administratives
avaient été mises en places : il suffisait d'avoir un document même périmé, prouvant sa marocanité pour participer au scrutin. A cet égard tout un argumentaire rodé vantant le retour de la citoyenneté des MRE a été développé:
tout « allait au mieux dans le meilleure des mondes ».
Le CCME finançait à tout va toutes les initiatives associatives pour l'organisation de débats sur la constitution, les amis des Yazami, Ajbali et Boussouf ont été appelés à la rescousse à grands renforts de finances généreuses, et l'on voyait les débats arrangés se multiplier. Une énorme opération de propagande, où les approximations et les raccourcis étaient légion.
Renforcés, par cette euphorie généralisée, les dirigeants du CCME ont subitement oubliés leurs manœuvres machiavéliques contre les MRE et se sont essayés aux débats publics avec la communauté : Au Canada on organise une rencontre avec le sulfureux Driss Ajbali directeur du CCME, ce fut la débâcle, la chute, la confrontation à la réalité amère : traité de « Baltajia scientifique », Ajbali en prend pour son grade, il dérape et dévoile son vrai visage de névrosé. Il traite ses détracteurs de fascistes, menace de se retirer du débat, s'emporte et insulte ses interlocuteurs, tente de les intimider en leur demandant de retirer leurs propos..etc. C'était peine perdue, le petit fantassin de Yazami, ne peut plus se cacher derrière sa plume médiocre et ses mauvaises chroniques dans le journal « Aujourd'hui le Maroc », il est en face d'une communauté qui en veut aux dirigeants du CCME, il était attendu de pieds ferme.
Pourtant, Ajbali qui rêvait de devenir le nouveau président du CCME après la promotion de Yazami au CNDH, voulait bâtir par cette sortie à la rencontre de
la communauté, une sorte de légitimité pour le futur poste. Quelques semaines avant cette rencontre, Ajbali avait déjà pris le relais de Yazami au niveau de la
presse et multipliait les déclarations. Cette chute canadienne, a définitivement mis fin à ses sorties médiatiques, et donc à ses ambitions pour la présidence du
CCME. Mais pour combien de temps ?
Les MRE ont voté par conviction. Voter non ou boycotter ce référendum revenait à désapprouver une recommandation royale. Tout le monde s'est donné le mot pour faire passer une idée assez farfelue : voter oui, c'est faire le choix de la stabilité, par opposition au désordre généralisé auquel appellent les activistes du 20 février.
Selon la nouvelle constitution, le Maroc a l'obligation d'assurer le respect et la protection effective des droits fondamentaux de chaque citoyen. Il s'agit donc
d'une obligation légale, soumise comme telle au contrôle juridictionnel et notamment, celui des juridictions suprêmes. Le respect des principes et des règles de l'Etat de droit, auxquels le Maroc adhère, le commande.
Plus encore que la reconnaissance juridique, le Maroc doit désormais rechercher Symboliquement le « rattachement physique » de la diaspora au pays.
Dès lors, les MRE, dont le Maroc attend une contribution de plus en plus importante pour son développement, ne peut être tenue à l'écart des processus de prise de décisions politiques et des instances de pouvoir dans le pays dont ils sont originaires. « La pleine participation des MRE à l'édification de nouveau Maroc» doit donc s'entendre, non seulement comme la contribution dans les domaines socio-économiques, mais également comme la participation aux affaires publiques, c'est-à-dire l'exercice du droit de vote et d'éligibilité, si elle n'en est pas une condition préalable. La réalisation de celle-ci relève d'un devoir de justice à l'égard des MRE ; c'est donc une exigence démocratique.
En effet, on ne peut être Citoyen et ne pas voter ; de même, on ne peut faire partie du peuple souverain et ne pas être représenté au plan politique. Ce sont
les principes de la démocratie qui l'exigent. Le Maroc ne peut pas avoir de devenir sans la diaspora qui est aujourd'hui une partie intégrante et qui va au-
delà du Maroc physique
La constitution marocaine affirme l'éligibilité des MRE, mais à quel point la pratique politique la confirme?
Au plan juridique autant qu'au plan politique, on ne peut sacrifier sur l'autel des considérations factuelles d'opportunité ou d'ordre financier, ce que commandent les principes de l'Etat de droit et de la démocratie, à savoir que la citoyenneté s'exprime de façon privilégiée à travers le droit de vote et d'éligibilité et que nul ne peut en être exclu en raison de sa résidence établie à l'étranger. Les fondements juridiques de la citoyenneté politique des Marocains résidant à l'étranger sont dans les textes internationaux, la Constitution et les lois qui contiennent les principes juridiques de l'Etat de droit et de la démocratie et qui reconnaissent à chaque personne, sans distinction, des droits politiques inaliénables et imprescriptibles. Ils sont aussi à rechercher dans la légitimité politique de la Diaspora, que lui confère sa reconnaissance juridique internationale. Ils sont dans l'article 21 de la Déclaration universelle des droits de l'homme, et dans l'article 25 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques annexé à la déclaration universelle.
En effet, ni la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, ni le Pacte international relatif aux droits civils et politiques qui lui est annexé ne
distinguent selon que la personne ou le citoyen titulaire du droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays réside sur le territoire de ce
pays ou à l'extérieur de celui-ci.
C'est sous ce postulat de base qu'il convient d'expliquer les fondements juridiques de la citoyenneté politique des Marocains résidant à l'étranger à YAZAMI et ses acolytes. Il sera ensuite plus aisé d'affirmer que la participation politique des marocains qui sont établis hors du Maroc est une exigence démocratique. Il faudrait songer dès maintenant à corriger la constitution pour permettre le vote à l'intérieur et à l'extérieur du Maroc.
Le silence inacceptables des membres du CCME
En 2007, le CCDH émet ses recommandations au souverain pour la création du CCME. Le conseil n'est plus supérieur, il est entièrement désigné et pire encore
sa composition restera incomplète, 13 membres n'ont jamais été désignés, soit exactement ce qu'ont souhaité YAZAMI, BOUSSOUF et AJBALI : Un conseil
désincarné dans lequel, ils pourront disposer des fonds et des moyens qui leur permettront de démontrer avec l'argent du contribuable que la participation
politique n'intéresse pas les MRE !
YAZAMI interdit aux membres d'émettre des avis, des recommandations voire des jugements, ce qui est tout simplement inacceptable dans une instance CONSULTATIVE. Cette façon de faire ne peut évidemment pas satisfaire. Cette volonté d'étouffer ceux qui expriment « la minorité » est une constante chez YAZAMI qui cherche purement et simplement à écarter des grandes instances de réflexion et de proposition tous ceux qui ne sont pas d'accord avec lui. Plus grave encore les membres observateurs ne participent plus aux activités du CCME depuis trois ans.
Les membres sont une simple marionnette. Ils se plaisent dans ce rôle de simple figurant. Leurs silences perpétuels complotent, à tel que point que l'on se
demande si les places n'ont pas été attribués après une compétition acharnée de flagorneurs ! Ici on est bien loin très loin d'une institution capable d'assurer
le suivi et l'évaluation des politiques publiques du Royaume envers ses ressortissants émigrés ! Les membres sont tout le temps sous la pression de
BELAHRECH, qui les a réduit à faire allégeance comme de vulgaires vassaux au suzerain Yazami qui jusqu'à maintenant, il pouvait insulter les MRE sans
grandes conséquences.
BELAHRECH, une figure fantomatique des coulisses dont les interventions intempestives dans les affaires du CCME intriguent ! La terreur qu'il exercée sur les membres n'est pas à démontrer. Il a réussi à dresser des membres dociles qui lui sont totalement dévouées. Plus grave encore, il assiste à toutes les activités du CCME et bénéficie toujours d'un quota de chambres pour ses propres invitées. Ce sont les rencontres du CCME qui lui permettent de rencontrer les proies faciles. Il se présente comme chargé de communication au Ministère des affaires Etrangère. Aucune discrétion, ses interventions ressemblent beaucoup à ce qui est présenté à la télévision.
Mais, bien entendu, un mensonge ne peut faire grand mal sans complices dans l'assistance. Les membres qui se comportent en collaborateurs ne rendent service ni au pays ni à eux-mêmes en faisant semblant de croire que Tout continue comme d'habitude.
Un autre phénomène qui a son mot à dire au CCME n'est autre que le fameux Elias qui a une main prise sur certains membres qui lui sont fidèles : Elias El
OUMARI n'est que le dernier menteur en date à monter sur scène pour permettre à Yazami d'arriver à son but : la domination complète de l'échiquier
politique. La veille du scrutin du 25 novembre, ce lobbyiste, Curieux personnage et pseudo élite politique contactaient les associations des MRE à
l'étranger pour leur demander d'arrêter de revendiquer le droit de vote. Lors de sa tournée Européenne, Elias a rencontré des MRE à qui, il a promis des postes
dans le prochain gouvernement. Raison pour laquelle, ils se sont tus durant toute la période Electorale. Malheureusement pour eux le G8 n'a pas gagné.
Autre fait troublant, Yazami qui d'habitude est prolixe dans la presse quand il s'agit de mémoire et de l'approche genre n'a pas dit un mot quant à l'éligibilité
des MRE. Au contraire, Yazami, et BOUSSOUF ont considéré que l'exemple de Tunisie et l'Egypte ne sont qu'une démagogie et ont soutenu l'idée du vote par
procuration. D'ailleurs il n'y a eu que deux procurations sur huit cents milles inscrits. Ce genre de réactions et réponses cutanés des larbins se sont fait
entendre, dans un tintamarre de bruit, comme des tonneaux vides en pleine descente rocailleuse. Ces tambours auxquels ont recours les plus médiocres du CCME ont retenti. En vérité, Yazami et Boussouf sont mandatés pour exclure les MRE de toutes participations. La fin justifie les moyens pour ces gens de non valeur et de mauvaise image dont les propos sont rangés au ras des gerberas.
La question de la participation des Marocains du monde aux affaires publiques dans leurs pays n'a jamais pu être posée au CCME du débat politique et recevoir la réponse qu'exige la confrontation des différentes situations aux principes démocratiques et aux dispositifs juridiques. Aucune concertation ni consultation des MRE ne sont faites à ce sujet. Encore moins des rencontres avec les parties politiques pour une éventuelle participation politique.
Les dès sont pipés, les jeux sont faits et les règles complètement truquées. Ce faisant, le CCME perd à la fois sa crédibilité et même sa légitimité : S'il
n'œuvre pas à une meilleure implication des MRE dans la gestion de la chose publique au Maroc alors à quoi sert-il ? Pourquoi dépenser durant quatre années 200 millions de DH si au final cela sert juste à exclure d'une manière éhontée 3.5 millions de MRE de la participation aux institutions de leurs pays d'origine?
L'irresponsabilité du CCME
L'une des missions, si ce n'est la mission principale du CCME, est d'œuvrer pour une représentation des MRE dans les institutions du Royaume, en accord avec l'esprit et la lettre de la nouvelle gouvernance dont s'enorgueillie notre pays. Le conseil économique et social (CES), le Conseil National des droits de l'homme en a été, malgré lui le test de vérité, en effet la composition du CES et le CNDH étaient en débat et le CCME avait toute la latitude et c'est son rôle premier, pour proposer une composante MRE. Or le CCME n'avait absolument rien fait et pourtant la question est d'une extrême importance pour les MRE.
Comment le CCME peut continuer à revendiquer la moindre crédibilité si sur des sujets aussi accessibles, il avait brillé par son silence. Outre la mission du
CCME, le poids de la communauté conjugué à une volonté politique exprimée par Sa Majesté le ROI, suffisaient amplement pour assurer une représentation
substantielle des MRE au CES, CNDH, HACA et d'autres conseils. Le caractère consultatif des conseils rendait la tâche encore plus facile, parce qu'en l'espèce nul besoin d'organiser une quelconque élection pour élire la composante MRE.
Tous ceux qui suivent de près les politiques publiques à l'adresse du MRE, ont été surpris par la promotion surprise de Yazami au CNDH. Cet homme tant décrié par la communauté, tant dénoncé par les associations de MRE, tant combattu même au sein du CCME, ne pouvait être promu de la sorte à pareil poste. Pire encore, ce manipulateur faisait partie de la commission en charge de réviser la constitution et a accumulé pendant quelques mois 4 postes de responsabilité important : Président du CNDH, président du CCME, membre de la commission de révision de la constitution et membre du Conseil Economique et Social (CES). Qui dit cumul des postes dit cumul des salaires, Yazami touche donc deux salaires de ministres en plus d'indemnités pour le CES et la commission de révision de la constitution soit au bas mot quelques 300 000 DH par mois, n'est-ce pas une gabegie pour un homme qui a été dénoncé pour sa mauvaise gestion des finances du CCME. Il faudrait vraiment être dans le coma pour ne pas avoir été réveillé par le scandale de YAZAMI.
Il est président du CCME, Président du CNDH et membre observateur au CNDH en tant que président du CCME, membre du CES en tant que président du CCME, et aussi en tant que président du CNDH. Quelle aberration !!!!
Gâteau pour Yazami et ses amis
Nul besoin de démontrer davantage l'abolie de Yazami et la gestion chaotique du conseil de la communauté marocaine de l'étranger, nul besoin de démontrer
que celle-ci incombe essentiellement à son président Yazami et ses acolytes de toujours, nul besoin de démontrer que le silence complice du secrétaire général
et de la majorité des membres participe à la dérive de l'institution. le CCME de YAZAMI a permis à son entourage de brasser ostentatoirement des centaines
de millions de Dirhams, alors qu'il y'a seulement quelques années la plupart avait mille et une difficultés à subvenir au quotidien de leurs familles.
Les postes de responsabilité, les abus financiers, les salariés fantômes sont tous l'apanage de cette garde rapprochée soigneusement constituée et de plus en
plus pléthorique. Certains chargés de mission corvéables et malléables à merci font désormais partie intégrante de ce premier cercle. Les dernières
augmentations de salaires sont un exemple.
Matricule Nom et Prénom oct-11
1 EL YAZAMI KHAMMAR 102633,01
2 BOUSSOUF ABDELLAH 91540,44
6 TOUHAMI KADIRI LAILA 24143,5
10 EL HASNAOUI ANAS 39889,89
16 AJBALI DRISS 65672,79
22 RIFKI ABDELLAZIZ 21478
40 LAHNAOUI MOUNIA 8500
46 TOUALI MAROUANE 46331
48 AJARRAI YOUNES 46331
Nous avons dénoncé en son temps les contrats de plaisance avec certaines agences de voyage (Bouchra el Oumari et KRIEM…), et groupes hôteliers, et
les honoraires de prestations injustifiées qui siphonnent.
Yazami n'a pas cependant, tant s'en faut, oublié ses amis dans son «œuvre» de partage du Gâteau CCME. Il signe, à tour de bras, des contrats de complaisance pour le compte d'amis et parents qui s'enrichissent sans cause: un Million de dirhams pour un certain Paul Dahan membre du CCME pour une histoire complétement volée. Des conventions signées par le CCME pour le bénéfice de certaines personnes défient le bon sens et heurtent profondément la morale et foulent au pied les règles élémentaires de la bonne gouvernance : ASRI, Charef et d'autres…. Tout passe dans ces contrats: KHROUZ journaliste qui écrit les articles que YAZAMI signe. La magouille est limpide, elle ne se pare même pas de forme pour masquer la volonté des fraudeurs: Ajarai membre sensé être bénévole est un salarié avec des privilèges logé , nourri et transporté par le CCME : voiture de location payé par le CCME, une maison payé par le CCME à 12 000 Dh et se fait rembourser pour ses repas . Il gagne beaucoup d'argent en organisant le SIEL et invite spécialement les amis de Yazami. Les comptes des charges du CCME comprennent des honoraires dont les rapports de mission devant justifier les paiements n'ont pas été communiqués aux comptes: des réunions fantômes convoquées par BOUSSOUF à l'étranger en
compagnie de Nadia et au Maroc à l'hôtel HASSAN. En vérité, les contreparties des paiements opérés n'ont jamais existé dans la réalité.
Le CCME de YAZAMI
Un personnel pléthorique et unanimement jugé inefficace (HASNAOUI TOUHAMI, TOUALLI, MZILI). Au CCME, les gens ne travaillent pas, et c'est connu de tous, ces pratiques frauduleuses n'auraient pas perduré si le système de contrôle et de suivi avait lui-même fonctionné sans tolérer les combines.
Peut-on hiérarchiser différents degrés d'incompétences. C'est l'incompétence parfaite et l'efficacité invisible.
Avec forces arguments, nous dénonçons des faits de corruptions graves et avérés. De quoi être scandalisé dans un Conseil où on est prêt à emboucher la
trompette d'autoglorification de la bonne gouvernance. Nous nous mettons encore une fois à la tâche pour mettre en exergue les magouilles qui entachent le CCME.
Le CCME a licencié une dizaine de personnes avec prime de départ et incite fortement le personnel à s'inscrire sur les listes des départs afin que les responsables touchent des pourcentages. Le CCME a même décidé d'augmenter des primes, pour motiver davantage les employés qui hésitent encore.
Pour le départ de véronique le CCME lui a versé une somme de 25000 Euros mais Elle demande plus. Elle cherche à trainer le CCME devant la justice.
Quant à Nadia KAJJOU avant son départ elle s'est absentée toute l'année 2010, mais elle percevait quand même son salaire de 40071,00 Dh mensuellement:
soit un total de douze moi de 480 852 dh plus une indemnité de départ de 30 000 Euros: Soit au total 65 000 Euros qui lui ont permis d'acheter une 4×4 et de
créer une entreprise de prestation de service au nom de xxlinnovation ( http://www.xxlinnovation.com/index.html ), il suffit de regarder le lien suivant
http://www.linkedin.com/pub/nadia-kajjou/17/ab9/aba. En fait elle a gagné plus que ça car c'est elle qui gérait à la place de Boussouf. Deux ans au CCME
ont permis à Nadia d'acquérir un appartement, une 4×4 , une entreprise et si Abdellah.
L'imam BOUSSOUF indiscret, n'a jamais renoncé à sa bien aimée. Ils sont toujours ensembles avec la bénédiction du protecteur de toujours BELAHRECH malgré les scandales. Ils sont bénéficiaires tous les trois et si Abdellah et si BELAHRECH sont chargés de trouver des marchés. D'ailleurs BOUSSOUF s'est déjà installé dans la société raison pour la quelle il est toujours absent au CCME. C'est vraiment un coup de maitre : créer une entreprise sur le dos du CCME c'est le comble de la malhonnêteté. Un fonctionnaire ne peut créer une entreprise. Cette interdiction du cumul du statut de fonctionnaire avec la création d'entreprise est rappelée dans la loi car il doit consacrer l'intégralité de son activité professionnelle aux tâches qui lui sont confiées au CCME. Il ne peut exercer à titre professionnel une activité privée lucrative de quelque nature que ce soit.
Yazami laisse faire, il tient BOUSSOUF. Son seul souci est l'extermination du CCME. Il joue au prestidigitateur. Malheureusement il n'est pas habile dans cet
art. Il essaie de démontrer une réalité qui n'en est pas une. Il utilise de la fumigation pour faire diversion, use maladroitement de boniments pour accompagner ses tours. Malheureusement il ne dispose pas d'atouts majeurs dans sa manche pour relever le niveau du spectacle. La vraie face de Yazami est à rechercher dans les années 1974 quand il est revenu en France et à quel prix.
L'histoire est maitresse de tout car, elle permet à tout homme, conscient surtout respectueux, de pouvoir se mirer, se juger et surtout de se refaire.
La gestion rationnelle ne devrait pas se limiter à l'organisation de méga rencontres, des concerts de musique et à l'achat et la distribution de magazines et journaux à l'effigie de Yazami, des dépenses de prestige. On croyait que, la gauche devrait discipliner. Yazami n'est qu'un loup dans la bergerie !
Le même feuilleton est répété soigneusement par YAZAMI au CNDH. Que des rencontres stériles super cérémonielles. Yazami des rencontres bidons pour mettre la main sur le conseil de la femme et de la famille. Il veut prouver que la constitution et sa composition seront faites par le CNDH. Or, Yazami devrait s'occuper des droits de l'homme et étudier le Rapport de HRW sur les droits de l'Homme au Maroc et éclairer sur la situation des saisonnières marocaines dans les plantations de fraises à Huelva en Espagne qui n'a rien de réjouissant au lieu d'organiser une rencontre dans laquelle les participants ont passé toute une journée à définir la terminologie du terme famille et sans aucune conclusion.
Ces maîtres chanteurs en manque d'argumentaire devant le dysfonctionnement du CCME, la folie dépensière et la conduite dispendieuse et irrespectueuse de YAZAMI envers les MRE, enfourchent les expressions à l'emporte pièce. Le CCME est géré par des responsables sans scrupules qui ne pensent uniquement qu'à leurs intérêts personnels au détriment de la communauté marocaine à l'Etranger.
En quatre ans de Présidence, Yazami et ses amis renforcés par l'impunité et la protection dont ils prétendent disposer, ont mis à genoux le CCME, dilapidé le
contribuable marocain. Les éléments à charge contre Yazami et ses acolytes peuvent alimenter un feuilleton judiciaire si seulement il y avait une volonté
politique d'évaluer le bilan du CCME. Ils feront du même pour le CNDH.
Espérons que Monsieur BENKIRANE tienne parole.
hassan SNOUSSI
[email protected]


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