La Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a affirmé, lundi, qu'il n'existe aucun indice, ni aucune preuve matérielle attestant que le dénommé Achraf Sekkaki, détenu dans une prison, dirige un réseau international de trafic de drogue depuis sa cellule. Dans un communiqué, la DGAPR a précisé que les allégations, véhiculées par certains sites électroniques nationaux à propos de cette question, "sont dénuées de tout fondement". Ce détenu, ayant des antécédents, principalement ses multiples tentatives d'évasion de prisons, est assujetti à un système de contrôle rigoureux de la part de l'administration de l'établissement pénitentiaire où il est incarcéré actuellement", selon la même source.