C'est dans sa marche résolue vers plus de progrès, de consolidation du processus démocratique et de raffermissement des Droits de l'Homme que notre pays accueille l'année 2014. Fruit des grandes avancées réalisées par notre pays sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI dont le projet sociétal moderniste en termes notamment de développement humain, de parité et d'équité entre les genres, de promotion du rang du Maroc sur l'arène internationale, de consolidation des bases de l'économie nationale, de renforcement de la transparence et de la gouvernance,... est aujourd'hui sujet d'admiration et d'émerveillement de par le monde. Preuve à l'appui, rappelons-nous cette double consécration du Maroc par l'Organisation onusienne, d'abord quand il a été élu à New York, à l'unanimité des 193 Etats membres de l'Assemblée Générale, en tant que membre du Comité du Programme et de la Coordination des Nations Unies (CPC), au nom du continent africain, pour une période de 3 ans, à compter du premier janvier 2014. Cette consécration, faut-il le rappeler, est intervenue juste après que cette même instance onusienne ait élu le Maroc en tant que membre du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies pour la période 2014-2016. Plus encore, dans cet élan de reconnaissance des avancées notoires de notre pays, celui-ci a été désigné récemment, à Brasilia, pour abriter en 2014, la deuxième édition du Forum Mondial des Droits de l'Homme (FMDH), à l'issue des travaux de la première édition, organisée à Brasilia du 1er au 13 décembre 2013. Bien des signaux forts et révélateurs de l'engagement de Sa Majesté le Roi et de la mobilisation de toutes les forces vives de la Nation pour hisser notre pays au rang qui lui échoit au même niveau que les pays de grandes traditions démocratiques. Bien entendu, le levier fort de cette dynamique est à apprécier à l'aune de l'approche de progrès telle que préconisée par Sa Majesté le Roi et qui repose sur une politique participative et de proximité mobilisant toutes les synergies et déployant les diverses initiatives. Cette dynamique, rappelons- le également, a été au centre d'intérêt, il y a quelques années, de l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe, réunie en session plénière à Strasbourg. Lors de cette réunion, le Maroc s'est vu octroyer le statut de « partenaire pour la démocratie », le premier à recevoir cette distinction particulière. A travers cette position, l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) reconnaît que « le Parlement, les forces politiques, les agents d'Etat et publics et la société civile du Maroc partagent largement les objectifs du partenariat pour la démocratie qui vise à renforcer la démocratie, l'Etat de droit et le respect des Droits de l'Homme et des libertés fondamentales dans le pays ». Pour mémoire, la résolution relative à ce nouveau statut avait pour base la demande du Parlement marocain présentée en février 2010 et a été votée en présence d'une importante délégation parlementaire marocaine conduite par MM. Abdelouahed Radi, président de la Chambre des Représentants, et Mohammed Cheïkh Biadillah, président de la Chambre des Conseillers. C'est dire l'importance de l'effort soutenu accompli par notre pays sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et dont chacun peut s'enorgueillir, aujourd'hui, à juste titre. Notre pays, aujourd'hui destination privilégiée des investisseurs et des opérateurs économiques, se positionne au rang de partenaire de taille. Un choix que corrobore nombre d'accords de partenariat, dont celui concernant le secteur de la pêche, entériné récemment par le Parlement Européen, pour une période de 4 ans, qui est un signal fort à l'endroit des choix stratégiques de notre pays et à l'endroit de la pertinence de la méthodologie suivie par Sa Majesté le Roi quant à l'édification de l'Etat de droit et à la consolidation du processus de développement intégré et durable.