Un garçon de Dar Beida à la tête du grand WAC. Oui, il était gardien de but en handball, arrière gauche chez le Difaâ Aïn Sebaâ, professeur d'Education physique et de sport, ex préparateur physique chez les Rouges. Progression technique, il est allé peaufiner ses connaissances aux pays du Golfe puis retour au pays. Le DHJ, CODM et tout dernièrement la Renaissance de Berkane. Talib, il est vrai, a laissé ses traces. Abderrahim pour roder les Fabrice, Anderson, Lemsen, Lakhal, Sekkat et tout l'effectif rouge. That's the question, comme disent les Britishs. Des « critiques » déjà entamées, Talib n'a pas encore « chauffé » sa chaise que l'on parle de grand WAC dont un certain Benito Floro et, auparavant, les Zaki, De Castel, Lozano ou Louzani qui ont trouvé d'énormes difficultés à répondre aux vœux du public wydadi. N'anticipons pas les choses et allons y pour encourager le cadre national. Talib connaît bien la maison rouge et c'est très important dans le profil de tout entraîneur qui passera par le chaudron du complexe Mohamed Ben jelloun. Ici, où l'usine doit retrouver son identité comme ses godasses de l'époque Youri, feu Mekouar, Lahrizi, Romao, Oscar, Zaki, Fakhreddine et des meilleurs. Talib « l'Italien » qui mise gros et, donc, qui lance ce défi de chauffer le « San Siro ». Wait and see...