Lachheb du MCO (aujourd'hui ambassadeur), Dades Abdelaziz gouverneur, Dinia, Mezouar ou Docteurs Rifki (Hassania d'Agadir), Azouzi (USK), Bahlioui (Raja), des célébrités à qui on peut ajouter la tranche des Banquiers, professeurs, experts comptables et tous les métiers qui demandent un passage à la FAC ou grandes écoles. Des footballeurs (on peut aussi citer les différentes disciplines sportives) qui, selon un quotidien dur, ont été forcés à quitter tôt le banc des classes. Il y a une mauvaise image qui s'est installée et c'est comme ça, généralement, une bonne tranche des pratiquants s'est retrouvée non scolarisés. « Mamskoulch » pour reprendre le langage populaire. Non scolarisés mais à jour intellectuellement, on leur doit respect et considération. Des intellos donc, les exemples comme cités haut sont nombreux et c'est avec plaisir de vous présenter le cas Docteur Bahlioui en service chez son Raja. « Oui, c'était difficile d'allier sport et études. A l'époque, je devais faire le voyage Sidi Othmane, Fac de médecine et l'Oasis. Tu en devines qu'entre un cours d'anatomie et une séance d'entraînement, il faut du souffle à ne pas interrompre ». Un cadre de la santé, Bahlioui fait aussi dans le développement humain. Elu Istiqlalien en conseil de ville, il jouit d'une estime considérable auprès de toute la population de Sidi Othmane (Casa). Un Ould L'Farka, il était dit que notre toubib est le mieux indiqué (notre bonjour va aux docteurs Arsi, Atik et Khatib) pour apporter soins et conseils diététiques, nutrition, suivi médical et tout ce qui peut faire qu'un Mitouali, Salhi gardent toujours la bonne forme.