Des Mahlabates, cybers, cafés, camions, Hondas au nom du ...Barça. Cette technologie de la parabole a eu un effet terrible sur tous les coins du Monde et ce n'est pas nous, Marocains, qui sommes à 15 bornes de la péninsule Ibérique que le Tsunami Azul Grana évitera. Un Barça apprécié à l'époque du Noir et Blanc avec ses Kubala, Rexach bien avant l'avènement des Cruyff, Maradona, Etoo, ou, de nos jours, le trio Iniesta, Xavi et Messi. Une parabole je disais, sachez que dans des coins lointains, l'image du Barça qui pénètre au salon, au douar, sur votre canapé ou à ras de sol; ça vous fait « bomber » et, partant, vous êtes éblouis de l'art du football, un spectacle régal, certes payé (bonjour Al Jazira) ou parfois gratis si l'on passe du côté des bricoleurs. Une tempête qui rase tout (nos respects aux Réalistes, Chelsea, Bayern, Boca...), le Barça aux origines de club populaire, combattant et tutti quanti, son image s'installe comme cité haut dans les montagnes, plaines et touche sans exception les petits patelins, cas du village Ras Al Aïn non loin de Settat où des braves « socios » ont donné naissance à une cavalerie nommée Barça. Une cavalerie qui fait boum et dont on invite nos confrères de la TV de réaliser des reportages et aussi chez le comité d'organisation, de leur organiser un voyage à Tanger, voyage à cheval...