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Télégramme
Publié dans L'opinion le 17 - 09 - 2010

Heureusement qu'on peut payer dans la téléboutique ou chez l'épicier du coin parce que s'il fallait attendre son tour dans les longues files – jusqu'à la porte ! – de l'agence de la Rédal de l'Océan, il faudra s'armer de patience. Des abonnés préfèrent faire la queue dans la chaleur du jour que de payer 5 DH de plus dans la téléboutique qui vendra bientôt de la harcha, du chewing gum Tendermint et des cartes Jawal pour arrondir ses fins de mois. stop.
Bien des administrations devraient adapter le standard automatique qui répond à la place de la standardiste molle qui répond «b'jmil» comme si elle avait toute l'administration sur le dos. La CIMR a quand même le mérite de disposer d'un standard qui guide et oriente ses adhérents avec une clarté réconfortante (éducation, politesse). Si on mettait les gens qu'il faut à la place qu'il faut au standard où certains ne répondent pas dare dare ou si on installait un mécanisme téléphonique performant dernier cri, le pays avancerait à grand pas. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître. Le standard, c'est très important dans le public comme dans le privé. Dis-moi qui répond au téléphone dans ta boîte et je te dirais que tu es…. stop.
Décidément, le message de la MAP sur le portable devient vraiment insupportable. Alors qu'elle n'a pas donné la température à Casablanca et à Rabat, juste Marrakech, Ouarzazate, Meknès, Fès et Bouarfa, sans Tiflet pour plaire à Bouzerda, notre chère MAP qui connaît la mappemonde, a trouvé le moyen de nous alarmer sur une bombe qui menaçait la Tour Eiffel et le champ de Mars –sait-elle que le peintre Gharbaoui est mort sur un banc public en 1971 ? – et un peu plus tard, sur une station de métro à Saint Michel où une autre alerte à la bombe menaçait ce petit bout attachant de Paris ! Si la MAP croit que les clients de SFR et Orange sont branchés sur ces messages inquiétants, elle peut rêver. En tous les cas, les Marocains qu'on vient déranger dans leur intimité avec des infos qui se placent en porte-à-faux avec leur environnement immédiat, souhaitent qu'on cesse de faire joujou avec un moyen d'information qui ne supporte pas les lourdeurs… stop.
Voilà qu'on parle dans le tourisme en 2020 qui est demain la veille. Les assises du tourisme sont reportées au 30 septembre, ce qui a étonné les pros qui attendaient cette rencontre à Marrakech et non pas à Erfoud où il n'y a ni fast-food, ni jacuzzi et SPA – à ne pas confondre avec la Société Protectrice des Animaux… l'autre – pour déverser tout ce qu'ils ont sur le cœur. Et les professionnels ont des choses à dire quand on les laisse parler. En tous les cas, c'est bien de parler du Maroc de l'an 2020. Petit rappel : on aura des problèmes d'eau qui n'ont rien à voir avec les coupures de la RADEM de Meknès dont les improvisations ont laissé sur le carreau de pauvres citoyens qui croyaient que ça n'arrivait qu'aux autres dans le Sahel, le Swahili ou en Namibie, comme en 1976, l'année la plus terrible dans l'Histoire des grandes canicules. Conclusion : on devrait fixer bien des programmes de l'an 2020. A moins que tout bascule en 2012 comme nous l'a déjà fait Paco Rabanne, toujours en panne, en l'an 2000. stop.
La publication des articles sur Ibn Khaldoun dans «L'Opinion» durant le Ramadan où des intolérants se cassent parfois les dents, signés Bensalem Himmich, un homme de culture et de conjoncture qui colle avec son temps, a prouvé qu'il y avait une grande place pour les hommes de plume dans un journal quotidien à Casa, à Taza ou à Rabat. L'ouverture heureuse de Bensalem Himmich devrait être suivie par des hommes comme Abdellatif Laâbi, Nissaboury et autres citoyens qui ne doivent pas laisser les plumitifs remplir le vide. Certes, il y a de la place pour les journalistes menacés par Google et autre Yahoo.fr, mais à l'heure où le conformisme, la platitude, la répétition occupent les devants de la scène journalistique, les hommes et les femmes de lettres doivent opter pour le journalisme avec des points de vue, des opinions, des vraies de vrai, voire des pages de journaux intimes. Comme du temps des Jaurès, Abdeljabar Shimi, Abdelkrim Ghallab, Abdefattah Kilito, Edmond El Maleh, Ouazzani, Mauriac et bien d'autres qui font honneur à la presse et à la littérature. A suivre. Ce n'est pas le premier SOS. stop.
Rien à faire, les donneurs et les donneuses, roulant derrière des moissonneuses, de leçons ne veulent pas lâcher prise. Dans leur confortable éditorial avec un vocabulaire stéréotypé, ils tiennent le pays en otage. L'autre c'est le Maroc, l'Etat, et ils et elles sont des hommes et des femmes de réflexion qui nous mettent dans la peau des petits pays même si le Royaume fait de grands pas. Ces éditorialistes, qui roulent sur l'or, veulent toujours avoir le dernier mot, histoire de vouloir démontrer que rien ne peut se faire sans eux. C'est un os interminable qu'ils et elles sucent depuis des années. A chaque lecture éprouvante, on se demande jusqu'à quand ces employés aux écritures vont nous laisser tranquilles et cesser de nous prendre pour des assistés qui ne connaîtront jamais de répit. Ça sonne faux, ça agace et ça ne rend service à personne. A moins qu'ils ne soient en service commandé, afin de se livrer à un sabotage en douce derrière lequel se cache beaucoup plus. En 2010, il serait temps de voir qui travaille pour qui dans ce pays en plein essor économique qui peut se passer de ses troublions. stop


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