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Télégramme
Publié dans L'opinion le 28 - 04 - 2010

Nouvelle formule de « service, camarade après » qu'on appellera comme on voudra. Des petits fonctionnaires, au lieu de demander un billet beige ou bleu, demandent à l'administré une carte de téléphone... de 50 ou 100 dh. Ça passe mieux que la monnaie trébuchante. Il faut dire que dans certains services on fait tellement traîner les choses qu'on donne l'impression à l'administré qu'on lui a vraiment rendu service. Du coup, il met facilement la main dans la poche pour rendre au préposé au guichet, ou au chargé de paperasse qui lasse, le sourire perdu entre deux démarches. Il arrive qu'une carte Jawal pour Nawal deux ou trois fois par jour et qu'une carte Méditel pour le chargé des signatures, ça finit pour chiffrer à la fin de la journée.
Conclusion : certains fonctionnaires mal payés, disent-ils, ont été placés entre la machine administrative et les administrés pour servir de transmission qui gâche leur mission, en principe honorable. stop.
Les choses de la vie. Un brave retraité bien installé dans sa baignoire a appelé son concierge pour qu'il lui frotte le dos.
Les deux hommes se sont enfermés dans la salle de bain dont la serrure de la porte était défaillante. Après lui avoir frotté le dos avec dévouement, le concierge a voulu ouvrir la maudite porte qui refusait d'exécuter un geste anodin. Rien à faire, les deux hommes avaient beau tenté de manier le poignet, la porte restait bloquée. Comme c'était un dimanche après-midi et qu'il n'y avait pas grand monde dans l'immeuble, ça commençait à se gâter. Il n'y avait plus qu'à défoncer la porte.
C'est ce que fit le concierge à grands coups de pieds, laissant un grand trou qui a permis aux deux hommes de retrouver la vie... Le recours à un menuisier a coûté au pauvre retraité 700 Dh. Depuis, il ne tourne plus sa clef à un ou deux tours... Si cela était arrivé à un enfant ou à une personne du 3ème âge, il aurait fallu appeler les sapeurs pompiers, mais encore faut-il arriver à les rejoindre un dimanche. stop.
Le livre de Binebine, l'histoire des 4 jeunes kamikazes de Sidi Moumen, reste un ouvrage honorable qui se lit avec une grande émotion. Mais certains observateurs ne voient pas l'utilité d'en faire un film alors que la plaie ne s'est pas encore cicatrisée, alors que le drame du 16 mai 2003 ne devrait pas être un leitmotiv pour ceux qui remuent l'Histoire sans modération. Pour la petite histoire, l'aide du CCM accordée à Nabil Ayouch est arrivée comme un cheveu dans la harira. 4 millions de Dh ! Rien que ça. C'était bien le moment ... stop.
Le Conseil local des Ouléma de la préfecture des arrondissements Casa-Anfa organise au cours de ce mois d'avril plusieurs conférences sous le thème « L'éducation environnementale dans l'Islam ». « Les valeurs principales de la protection de l'environnement », « Le rôle de l'éducation environnementale dans la société », « La propreté et son rôle dans la protection de l'environnement » et autres sujets touchant à l'environnement figurent au programme de ces rencontres.
Mais on attend l'ouvrage qui démontrera les valeurs principales de la protection de l'environnement dans le Coran. La dimension écologique en ces temps d'overdose du vert, dans le Livre Saint, est indéniable. Il suffirait de relire le Coran pour en extraire toutes les valeurs de la protection de la nature, et de l'environnement en général. stop.
Chassez les ordures, elles reviennent au galop. La ville de Rabat s'est débarrassée de sa décharge qui avait infecté la vallée de Akkrach, en l'installant à Oum Aâza, dans cette belle région de Aïn Aouda où le terrain est devenu aussi cher que sur l'avenue Mohammed V. Mais la nouvelle décharge de Oum Aâza n'est pas inodore. Les riverains sont tellement gênés par les nouvelles odeurs qu'ils envisagent le 8 mai d'organiser un sint-in devant la comme de Aïn Aouda.
Une « ouakfa htijajiya », comme on dit un peu partout maintenant, quand des citoyens désabusés ont tout essayé. A suivre, stop.
Des hommes, des femmes et des enfants sans ressources munis de leur seul certificat d'indigence, se font dépister les troubles visuels gratuitement à la Fondation Hassan II d'ophtalmologie. Une visite surprise dans ce centre social, qui vient en aide en particulier aux diabétiques, nous a permis de constater que les patients reçoivent lunettes et verres gratuitement. Saluons au passage les envois précieux de lunettes neuves, de Star Optical de Tanger. Ce qui nous pousse à demander aux opticiens qui ont des modèles de lunettes invendues de participer à l'action de SOS Diabète dont le président n'est autre que notre ami Seddik El Ofir, personnage mythique de Rabat. Saluons au passage aussi le dynamisme du Dr Jallal Cherki, militant de longue date, joyeux et pro à la fois, Dr Youssef Zekraoui, Dr Amine Loudghiri, Dr Naoual Jennane, des hommes en blanc, des spécialistes qui ont le sens du sacrifice en ces temps où le chacun-pour-soi devient inquiétant. stop.
Lu dans «Actuel» qui ne s'occupe pas que de froufrous et de flashs bouche-trou :
«Il y a quelques semaines, l'Algérie avait décidé à travers la loi de finances de l'année en cours d'exproprier les Marocains victimes de l'expulsion de 1975. A l'époque, des dizaines de milliers de Marocains avaient été expulsés par Boumediene avant de geler la jouissance de leurs biens immobiliers. A la publication récente de la loi de finances algérienne, un appel a été lancé par l'Association des Marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie (ADEMA) pour arrêter l'expropriation des biens des Marocains. Ils réclament l'ouverture des frontières, la restitution des biens à leurs propriétaires et le dédommagement moral et matériel des victimes de ces expulsions. Les autorités algériennes ont pris contact avec des habitants de l'extrême Ouest du pays, leur demandent de «leur remettre tous les documents en leur possession prouvant le droit de propriété de leurs terres dans le gouvernorat d'Oujda sur la frontière maroco-algérienne»». A suivre ? Et comment. stop.
Rabat - Hay Nahda. A la Mokataâ, pour le renouvellement de la Carte d'Identité Nationale, on a demandé à des personnes l'engagement signé du chef de famille pour la délivrance du certificat de résidence. A notre connaissance, on demande un tel engagement aux locataires et non aux membres d'une même famille résidant sous le même toit et ayant une CIN portant la même adresse. stop.
A peine nommé à la tête de l'Office des Aéroports, Dalil Guendouz s'est retrouvé dans une situation décoiffante. Le volcan islandais a sérieusement ébranlé le transport aérien. Du coup, à l'instar de la RAM qui a mis le paquet pour réconforter les passagers en direction du vieux continent qui ne s'attendait pas à voir des avions mobilisés sur le tarmac, l'Office des Aéroports a vite lui aussi réagi. Un communiqué de l'ONDA a indiqué, mercredi, que le dispositif d'accueil, d'assistance et d'information, mis sur pied par l'ONDA dès le déclenchement des perturbations dans le trafic aérien le 16 avril, a été maintenu et renforcé. Ainsi, l'information a été axée sur la recommandation faite aux passagers à travers le site Internet de l'ONDA et le numéro 080.1000.224 de ne pas se rendre aux aéroports avant de confirmer leur réservation auprès de leur compagnie aérienne pour leur éviter le déplacement fastidieux et inutile, souligne la même source. Enfin, jamais on n'avait vu les nôtres se mobiliser, en concertation avec les uns et les autres, dans un tel scénario catastrophe. stop.
Le FUS continue à donner les leçons de discipline tout en enregistrant des succès ici et là. La victoire de l'équipe du Ribat contre le club malien prouve, d'autre part, son ambition internationale. Le Fath Union Sport qui marque les points là où on ne le voyait plus briller, nous fait oublier les problèmes de transport, l'avancée du tram qui n'est pas une panacée et autres petits problèmes typiquement rbatis. stop.
Les échos de la vie hôtelière. L'hôtel la Tour Hassan fêtera son centenaire comme il se doit. Ben Amour qui est conscient de l'événement veut conserver à ce palace historique son cachet. De la porte d'entrée, des mosaïques anciennes et bien conservées jusqu'au jardin redessiné, un havre de paix en pleine ville, en passant par les cuisines du palais de Haroun Rachid, rien ne manque à ce 5 étoiles qui n'en a pas volé une… Enfin, si chaque hôtel à Rabat possède ses propres spécialités, l'hôtel de la Tour Hassan offre certainement le meilleur couscous royal de la capitale. stop.
On n'avait jamais encore vu un marchand de pépites, de réglisse et de bazoka à la sortie du lycée Lalla Nezha. Encore heureux que le vendeur de harcha n'ait pas encore fait ce déplacement… stop.


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