Après les accusations de son ex campagne Pamela Anderson dénonçant la violence d'Adil Rami envers elle, le footballeur international français sort sa biographie « Autopsie » et menace de tout faire éclater. L'histoire remonte à plus d'un an. En juillet 2019, la star d'Alerte à Malibu avait accusé son compagnon de l'époque Adil Rami de l'avoir violenté. Adil Rami qui a toujours contesté les accusations de Pamela Anderson n'avait pas souhaité s'exprimer à l'époque. Aujourd'hui, il revient sur cette histoire dans sa biographie « Autopsie » écrite par Géraldine Maillet. Le Figaro a dévoilé quelques extraits du livre qui est sorti le 15 octobre.
« Je suis un monstre, un paria, une immondice »
Adil Rami raconte d'abord le moment où il a appris ces accusations, « Tout s'effondre alors que je suis dans l'avion pour Paris. Quand j'allume mon portable, j'ai reçu plus de 100 messages et des dizaines de notifications... » et les répercussions immédiates sur sa famille, ses amis et sa carrière, « Je suis en lambeaux. Feda, Samir, Nadia, les pleurs de maman, mes amis, la presse pour avoir ma réaction. J'avance en zombie. Je suis un monstre, un paria, une immondice. Adil Rami, footballeur polygame et agresseur. Je l'aurais tapée un soir de décembre ? Je lui aurais brisé les poignets ? Porte plainte, je t'en supplie. Trimballe-moi devant les tribunaux, pitié.« , avant de révéler ensuite sa version à lui concernant les blessures aux poignets de Pamela Anderson : « J'ai gardé la vidéo qu'elle m'a envoyée quelques semaines auparavant. « Regarde mon amour, j'ai une tendinite au poignet à cause de Danse avec les Stars. Elle souffre d'arthrose le lundi ou je la bats le mardi ? ...La machine à broyer est en marche. » « Je pourrais la jouer sale » Bien que bouleversé, le joueur de foot ne veut pas faire de scandale public et préfère rester calme, « Je pourrais la jouer sale, assumer le carnage puisqu'elle a mis ma famille dans la tempête, balancer nos sextapes, ses mails, ses poèmes, ses sms fous d'amour qui l'atomiseraient médiatiquement – « I love you/ A lot/ Merci to help me/ to be my best » -, les galères de son fils Brandon à Milan pendant la fashion week...« . Mais il n'en est rien. Adil Rami préfère attendre que la justice fasse son travail. « Allez, qu'on me juge pour ce que je n'ai pas fait. Je suis prêt, je suis appelé à la barre, je lève la main droite, je le jure. »
LIRE AUSSI : Rap Halal. Le nouveau prosélytisme est né