Qui l'aurait cru, l'enfant terrible du football Belgo-Marocain, Nabil Dirar, s'est assagi depuis la prolongation de son contrat avec le club. L'international Marocain s'est senti libéré au niveau professionnel, il ne lui manquait plus que la stabilité pour atteindre cette maturité qui lui faisait défaut « J'étais tellement fatigué au Club. Je n'en pouvais plus de cette étiquette d'enfant terrible. Je ne suis pas cela. Je sais bien que j'ai commis des erreurs, mais tout a été amplifié. » explique le Marocain. « Je pensais que la direction du Club ne voulait plus de moi. Mais ce n'était pas vrai. La direction croyait en moi et voulait poursuivre avec moi. Ce jour a tout changé. Depuis, je suis devenu une autre personne. Mes préoccupations de la saison dernière, c'est du passé. Maintenant, je me sens libéré. Mon mariage a aussi certainement influé sur mon changement. Ma femme est aussi âgée que moi, mais plus mature. Elle m'en parle souvent. Ma propre mère ne me reconnaît même plus. » poursuit le Marocain qui vient d'être pré-sélectionné par Eric Gerets pour la rencontre qui opposera le Maroc à la Tanzanie ce 9 octobre. On signalera que le sélectionneur national sera ce samedi à Bruges pour superviser le virevoltant médian Marocain des Blauws en Zwarts qui rencontre le Montois, Rachid Bourabia dans le cadre de sa tournée Européenne. Suivant