«Les Echos quotidien» a reçu de Maître Abdelfattah Chiguer, avocat représentant des clients du groupe Addoha. Une mise au point relative à notre enquête parue les 23 et 24 Août 2010 concernant le litige opposant ses clients avec le groupe Addoha, dont nous publions l'intégralité ci-dessous :«Les Echos quotidien a publié une enquête, dans les numéros 197 et 198, sur les copropriétaires des programmes Adoha II, Al Kawtar et Al Abrar, que je représente et qui insinuait qu'Anas Sefrioui, président du groupe Addoha, serait responsable dans cette affaire. Pour éclairer l'opinion publique et lever tout équivoque, je précise qu'il s'agit de jugements et d'arrêts à l'encontre des sociétés Douja Promotion et Euro Africaine de Trade et non de jugements sur la base de plaintes pénales à l'encontre du président du groupe Addoha, avec lequel mes clients n'ont aucun litige. Je précise aussi, en effet, que des arrêts ont été rendus par la Cour d'appel, qui ont infirmé les jugements rendus en première instance et qui ont prononcé la substitution de la société Euro Africaine de Trade à la société Douja Promotion, groupe Addoha. Enfin, et pour lever tout équivoque, je rappelle que contrairement à ce qui a été rapporté dans l'enquête, il s'agit uniquement de litiges purement civils qui ont été déférés à la justice civile, laquelle a statué au moyen de jugements et arrêts de nature civile, suite à des assignations et non pas suite à des plaintes». NDLR : «Les Echos quotidien» précise que les informations publiées dans l'enquête citée ci-dessus, reposaient sur des décisions rendues par les juridictions et sur la base des explications fournies par le représentant des clients d'Addoha. Cependant, une confusion terminologique d'ordre juridique a donné lieu à des interprétations erronées et à des imputations liées exclusivement à cette confusion non voulue et non préméditée par notre quotidien. En tout état de cause, Douja Promotion étant leader de son secteur, qui plus est une société cotée qui pèse particulièrement lourd dans la capitalisation boursière, il est donc tout à fait normal qu'elle suscite l'intérêt de la presse et particulièrement de la presse spécialisées. Les Echos quotidien, de par sa vocation de quotidien économique, continuera à s'intéresser à ce géant immobilier, au même titre qu'aux autres opérateurs économiques, sans préjugés et dans le respect total de l'éthique professionnelle et conformément à notre charte déontologique.