Tout travail mérite salaire, dit l'adage. Mais pour les syndicats de l'Education nationale (ndlr : FDT, CDT, UMT et UGTM), qui paralysent 12.000 établissements par une grève que plus personne ne comprend, «ne pas travailler mérite tout autant salaire». Ces organisations syndicales font du paiement des jours de grève une ligne rouge en maintenant la pression sur le Chef du gouvernement et en pariant sur leur capacité de nuisance. C'est le monde à l'envers ! La décision du gouvernement d'appliquer... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.