Pour l'actrice française, la célébration la plus importante de la religion musulmane est "un jour de deuil sanglant". À l'occasion de l'Aïd, la fondation dénonce la "barbarie de l'abattage rituel" et la désinvolture des autorités françaises face à "la souffrance" des bêtes. Dans un communiqué relayé sur les réseaux sociaux, la présidente de la fondation Brigitte Bardot et fervente défenseure des droits des animaux, s'indigne en particulier de la "dérogation inacceptable" qui autorise pendant l'Aïd "l'égorgement sans étourdissement des bêtes". "Egorgés à vif, dans d'affreuses souffrances, plus de 200.000 moutons chèvres et bovins sont abattus en France", peut-on lire dans le communiqué de la fondation. Et de poursuivre:"Les lois françaises et européennes exigent l'étourdissement préalable à la saignée. Je demande donc la suppression des dérogations accordés aux cultes". Abattage rituel : je demande la suppression des dérogations accordées aux cultes. Ma tribune, aujourd'hui et demain, dans le Figaro. pic.twitter.com/C97ZXwA1NI — BRIGITTE BARDOT (@brigitte_bardot) August 9, 2019