Après que le ministère de l'Intérieur ait ordonné la fermeture des écoles du groupe scolaire Mohamed Al Fatih, les familles des 2.500 étudiants s'interrogent, avec angoisse, sur l'avenir de leurs enfants. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper