La Fondation ONA a organisé la signature du nouveau roman de l'écrivain Mamoun Lahbabi, «L'épreuve de la passion», ce mercredi 17 juillet à la Villa des arts de Rabat. Zoom sur le nouveau-né de la littérature marocaine. Mamoun Lahbabi est passé de l'économie à la littérature. Le professeur en économie s'est reconverti en romancier de talent. Il décrit la passion comme un tourbillon de la vie, une tempête de sentiments, un bouleversement tout simplement. «Peu de joie rythme la vie de Lamia. Ni le luxe tapageur d'un milieu nanti, ni les voyages aux quatre coins de l'Europe n'attisent son goût de vivre. Et puis cette rencontre fulgurante qui investit sa vie jusqu'à l'absorber. Dès lors, Lamia mène une existence en montagnes russes, tantôt dans l'extase de sa passion, tantôt dans le tourment d'une double vie». L'histoire de Lamia est celle d'une femme qui fait face à ses sentiments au lieu de les étouffer ou de les vivre superficiellement, comme le voudrait la société marocaine. Le roman raconte cet amour qui n'a pas sa place dans cette société, ou que l'on cherche désespérément à cacher car il engendre souvent des malheurs. «Ce roman est à la fois celui de l'heur et du malheur. Il raconte le vertige de l'amour et la fréquentation des tourments. C'est un roman qui conjugue conviction et renoncement en évoquant quelques scènes d'une société qui a encore du mal avec sa réalité. C'est un roman sur la résignation, qui déroule l'existence inaboutie de personnages qui peinent à se révéler à eux-mêmes». Le roman est signé Mamoun Lahbabi, professeur à l'Université Hassan II de Casablanca. D'abord auteur de livres en sciences économiques, il est happé par la littérature au détour d'un déclic imprévu. Son premier roman date de 1994; il en publie régulièrement depuis. «L'épreuve de la passion» en est le dixième. Dans chacun de ses livres, et à travers les personnages qui les animent, l'auteur dévoile quelques pans de la société, parfois en empruntant des métaphores, souvent en essayant de sonder les âmes. À bien des égards, Mamoun Lahbabi est un écrivain de l'intime qui cherche, par ses écrits, à mieux explorer cette part de l'humain. Ayant découvert la passion, il la donne à lire dans son nouveau roman. «L'épreuve de la passion» est disponible dans les librairies du royaume. Procter & Gamble Maroc offre 16.000 ftours Chaque panier de produits acheté permettra à une personne dans le besoin de bénéficier d'un ftour gratuit. P&G Maroc reversera la valeur des ftours à diverses associations parmi lesquelles le Samu Social, le Centre Sidi Moumen d'insertion sociale des handicapés, le ladies Circle Casablanca, le Rotary Energy Casablanca. Fidèle à son engagement social, Procter & Gamble Maroc (P&G) mène une vaste opération de solidarité à l'occasion du Ramadan à travers ses marques : Tide, Ariel, Mr Propre, Ace et Fairy. Pendant le mois sacré, le leader des biens de consommation courante a lancé les paniers ftours dans tous les supermarchés Marjane du pays depuis le 24 juin dernier. Le principe ? Chaque panier de produits acheté permettra à une personne dans le besoin de bénéficier d'un ftour gratuit. P&G Maroc reversera la valeur des ftours à diverses associations parmi lesquelles le Samu Social, le Centre Sidi Moumen d'insertion sociale des handicapés, le ladies Circle Casablanca, le Rotary Energy Casablanca... En plus de cette donation de 16.000 ftours, les employés de P&G Maroc seront mobilisés pendant ce mois sacré pour participer à la préparation des repas et servir les bénéficiaires dans les associations citées. En outre, une opération de parrainage sera mise en place afin de permettre à chaque employé de P&G Maroc de parrainer une personne dans le besoin durant le mois sacré. Cette action sociale n'est pas la première de P&G Maroc. À l'occasion du Ramadan 2012, l'entreprise a offert plus d'un demi-million de couches Pampers à diverses associations. Il y a deux mois, P&G Maroc a signé un partenariat avec la Banque alimentaire pour le stockage et la répartition des donations de l'entreprise. Enfin, un partenariat a été réalisé pour équiper l'atelier de coiffure du centre Sidi Moumen pour la réinsertion sociale. Une initiative non lucrative pour une entreprise lucrative... Comme quoi, c'est possible !