L'ONG marocaine qui s'est constituée partie civile dans ce procès a obtenu gain de cause après que la Cour d'appel de Marrakech, dans son jugement rendu le 19 février 2015, ait condamné les inculpés au versement du dirham symbolique à Transparency Maroc. La sentence a aussi condamné à des peines de prison ferme et à la saisie de biens immobiliers, l'ancien président de la municipalité Menara-Guéliz, sept autres conseillers municipaux et un entrepreneur pour «dilapidation de deniers publics, corruption, faux en écritures publiques et usage de faux».