Ils nous veulent le bien ou le mal ! Personne ne sait ce que déroulent leurs pensées, les choses se sont mélangées à tel point que l'esprit s'arrête de flamber. En fait il ne faut plus aller loin pour analyser leurs profonds comportements avec les autres, Marx ne nous avait-il pas prévenu à son époque en nous disant que le bonheur des uns fait le malheur des autres, et que les riches deviennent plus riche et la situation des vulnérables ne fait qu'exacerber. Il s'agit en fait d'un fatalisme sans précèdent, où le snobisme est le pivot de la vie quotidienne. Les jeunes marocains souffrent du malheur qui tombe sur leurs esprits, d'où un cycle vireux. Les portes qui s'ouvrent ne laissent apercevoir les cœurs « déguisés » qui cherchent leurs propres intérêts, en faisant abstraction des vulnérables dans les banlieues (les quartiers qualifiés les plus marginalisés, bien que ce ne soit pas toujours le cas.) Allons visiter les scènes de banlieues, vous allez trouver des capacités superbes : c'est le besoin qui crée le pouvoir de patience et du développement psychique, en d'autres mots, la créativité ressort des cœurs rêveurs. Comment se fait-il que les nouveaux diplômés se retrouvent toujours en chômage ? Ce ne sont plus des diplômes ad Huc, ils ne sont qu'une résultante d'un système éducatif oisif, où certains professeurs pratiquent la mission d'une façon anti-éducationnel. Et par conséquent, les étudiants perdent tout espoir d'être efficaces au sein de leur patrie mère. Et le pire c'est que l'on est entrain d'entamer une carrière de développement à plusieurs têtes, sans revenir sur les hydres de Lerne. Avant de mettre du bon vis dans une bouteille il faut d'abord la vider, notre subconscient est plein d'idées que l'on veut réaliser, alors que d'autres tentent de réaliser des choses sans une politique de déploiement réfractaire à toute valeur. On va répéter l'histoire si l'on continue à faire de telles pratiques. Les jeunes veulent du réalisme et non un jeu déjà dévoilé. Il ne sert à rien maintenant à écrire le bon alors que l'action n'est qu'une sorte de discrimination abusive. Si vous voulez jouer le jeu du diable et des génies maléfiques, mission accomplie, félicitations ! Nos jeunes en dépit de ces polémiques restent flambants et gardent encore le credo de volonté car notre HBIBNA, le Monarque, est derrière nous et nous ne pouvons rester sans action c'est Notre seul espoir. Mais comment faire arriver les vrais problèmes des jeunes à notre ROI ? De plus, nous optons pour la création d'instances d'écoute et de conseils de jeunesse présidés par des jeunes car ils sont les concernés. Tenir une promesse s'avère impossible en ce moment et ronronner à la télévision s'avère une arme pour ceux qui ont dans leurs yeux quelque chose, donc la solution s'allie vers une révolution purement jeune. La situation est insupportable. Une fois l'Islam classifié, qu'attendre d'eux,... la réponse est évidente !