Il est des gens de par le monde qui vivent, respirent le mensonge. Le pire d'entre eux est celui qui finit par y croire et essayer d'en persuader les autres. Ces quelques mots résument l'histoire de l'ancien salarié de HeSport, Khalid Berehli et l'ancien collaborateur, Noureddine Lachhab. Ces deux personnes mènent une campagne féroce contre le journal électronique Hespress, faite de mensonges et d'allégations dénuées de toute vérité et de toute crédibilité, notamment en prétendant, et surtout en se persuadant, à tort bien sûr, qu'ils en sont les fondateurs. Tout en réfutant ces allégations sournoises, véhiculées à tort et à travers, par ce « couple uni dans le mensonge », Hespress réaffirme, si besoin était, que ses véritables et seuls fondateurs, sont les frères Mohamed Amine El Guennouni et Hassane El Guennouni, propriétaires à 100% de l'entreprise éditrice du premier journal électronique du Maroc, et ce depuis sa création. Il convient, à ce propos, de préciser que Hespress, qui emploie plus de 100 personnes et se conforme strictement à la loi dans toutes ses transactions, n'aurait pas pris la peine de répondre à cette campagne débridée, si les deux intéressés n'insistaient pas pour se présenter comme fondateurs et journalistes au sein du site. Genèse de l'affaire L'adage dit que la vie du mensonge est très courte, et qu'il ne peut pas résister longtemps devant la vérité crue. C'est on ne peut plus vrai. Et pour faire éclater la vérité et mettre un terme à un tissu d'allégations qui frôle le ridicule, Hespress se fait un devoir d'éclairer le lecteur et l'opinion publique en général, en dévoilant certains faits plus que révélateurs. – En premier lieu, il s'agit de savoir que Khalid Berehli n'est pas actionnaire à Hespress. C'est un blogueur de Sidi Kacem qui a rejoint le journal vers la fin de 2011, avant d'être affecté à HeSport en 2014. – En second lieu, et c'est là où le bât blesse et la vérité que Berehli refuse de reconnaître et surtout de dire, c'est qu'il a été radié, conformément au code du travail en date du 24 décembre 2018, après que le site ait obtenu son homologation et parce que M. Berehli ne dispose pas des qualifications académiques, autrement dit le niveau d'instruction scolaire requis, qui lui permet d'assurer la direction d'un journal électronique. Après avoir été informé de la nécessité de prendre ses fonctions en tant que journaliste à HeSport en octobre dernier, il a refusé de se conformer à la décision. – Ayant du mal à accepter sa situation (un journaliste comme le reste de ses collègues) à HeSport, il a lancé son offensive sur Facebook, en s'en prenant à ces mêmes collègues, qu'il a qualifiés de « dépourvus de tout discernement et toute volonté », qui ne font qu'appliquer ce qu'on leur dicte. Ce sont là des « insultes » que quiconque ayant opté pour ce noble métier, ne saurait accepter, d'autant plus qu'elles émanent d'une personne ayant vraisemblablement fait l'objet d'un véritable lavage de cerveau,et bien d'autres choses « peu flatteuses » chez tonton Azmi. – De même, quatre jours après la radiation de M. Berehli, il a adressé ce qu'il se plait à appeler « une démission » au siège du journal, qui n'était autre qu'un ramassis d'insultes à l'encontre des propriétaires du journal, et qui sera assurément présentée à la justice. En outre, en tant que salarié depuis 2011, radié le 24 décembre 2018, il n'est aucunement en droit d'interférer dans la gestion de la boîte ou le choix de sa ligne éditoriale. – L'autre vérité, voire la plus grave, est que Khalid Berehli est entré en possession, en toute illégalité, de documents internes de Hespress, qu'il s'est attelé à falsifier dans l'objectif de lancer une minable opération de chantage à l'encontre de ses anciens employeurs. L'autre moitié de ce triste « couple », n'est autre que Noureddine Lachhab, un fonctionnaire détaché du ministère de l'éducation nationale auprès de la chambre des représentants, du PAM plus précisément. Il a collaboré pendant de longues années avec le journal, avant que Hespress ne mettre un terme à cette collaboration en vertu des dispositions de la loi 89-13 relative au statut des journalistes professionnels. A cet égard, Hespress lève le voile sur certains faits, dont le chantage et les menaces à l'encontre du directeur de publication du journal, et ce depuis février 2018, en vue d'obtenir des sommes d'argent faramineuses pour « accepter » d'arrêter la collaboration. Il a également tenté, vainement, d'influencer la ligne éditoriale du journal, pour en faire le porte-voix de l'ancien secrétaire général d'un parti politique. Et ce n'est pas tout. L'intéressé n'a eu de cesse de profiter de la situation pour rentrer dans les grâces de professeurs universitaires et « arracher » un doctorat, entre autres, outre ses manigances pour bénéficier de cycles de formation gratuits. Il convient de préciser ici que Noureddine Lachhab n'a jamais assuré une quelconque fonction à Hespress, n'y est lié par aucun contrat, et pourtant il n'a pas hésité, dès que la direction a mis un terme à la collaboration, à se livrer à un chantage de bas niveau. Après les vérités, les interrogations Au même titre que son lectorat fidèle, le journal a été surpris par la présentation de Khalid Berehli et Noureddine Lachhab, par certains médias en qualité de fondateurs de Hespress. Il invite donc ces mêmes médias à prouver ces dires devant la justice, et les appelle à procéder aux vérifications nécessaires pour tenter de répondre à ce qui suit : – Est-ce qu'un poste de journaliste avec un salaire ne dépassant pas 12.000 dh pendant une période de 6 ans permet de s'offrir 3 appartements et une voiture de luxe ? – Est-ce qu'un emploi au sein de l'enseignement collégial permet, en 6 ans seulement, d'acquérir des biens immobiliers dans deux villes différentes ? – Est-ce que vous accepteriez de garder au sein de votre équipe des personnes qui procèdent à des « interviews payantes » et perçoivent des « enveloppes » conséquentes qui sont directement versées dans leurs comptes bancaires personnels, et qui se permettent de s'offrir des voyages et des séjours dans des hôtels au nom du président d'une des régions du royaume, mais surtout aux frais des contribuables ? Campagne bas de gamme Le chantage, le mensonge et autre servilité trouvant toujours écho chez certaines faibles âmes qui se délectent en lui les propageant, un site électronique, qui se fait appeler LeDesck, en mal de matière journalistique digne du nom, n'avait d'autre alternative que de remplir ses pages, tristement vides et inintéressantes, par des mensonges et des contre-vérités dénuées de tout professionnalisme. De même, le site de la chaîne qatarie Al Jazeera, s'est emparé de cette affaire pour régler les comptes de Doha avec l'Etat des Emirats arabes unis. Si le site d'Al Jazeera et Ali Ammar considèrent Berehili et Lachhab comme des fondateurs de Hespress, ils n'ont qu'à le prouver devant la justice.