Dans le but de se renforcer militairement, le Maroc ne cache pas ses ambitions d'achat du dôme de fer israélien produit par Rafael Advanced Defense Systems, pour intercepter les obus de mortier, les roquettes et les drones mais également afin de se défendre contre les menaces aériennes et autres, selon le Jerusalem Post. Par ailleurs, et toujours dans ce souci de défense, le Royaume a lancé un appel d'offres afin de moderniser et mettre à niveau ses infrastructures aéronautiques de ses différentes bases militaires. Le Maroc se lance dans la production d'arme Toujours à ce chapitre, le Maroc se lance dans la production d'armes, à travers une coopération avec une entreprise chinoise spécialisée en la matière. Il s'agit de la société chinoise Norinco, spécialisée dans l'industrie de l'armement, qui a ouvert une succursale à Rabat en attendant celle de Marrakech. C'est un secret de polichinelle le Maroc s'est attelé, depuis que le pays à l'Est de l'Eden a déclaré ses "désamours" envers le Royaume, durant ces dernières années. Aussi, ce dernier s'est mis à renforcer son armement, en se dotant de matériels militaires de pointe et de dernière génération. C'est ainsi que dans la fameuse perspective de qui « veut la paix prépare la guerre », le Maroc s'est lancé dans l'acquisitions massives de matériels militaires dans un plan quinquennal de réarmement dans lequel il a prévu d'acquérir du matériel militaire pour 22 milliards de dollars... Aussi, à cet effet et afin d'accroître sensiblement son potentiel militaire, le Maroc a déjà acquis, une vingtaine de chasseurs-bombardiers américains F-16 Block 50/52, ainsi que d'autres matériels militaires, deux cents chars de chasse M1-A1 Abrams, des hélicoptères de chasse Apache AH-64E. La mise à niveau de l'infrastructure aéronautique militaire du Maroc On ne saurait donc, dire, qu'après ces récentes acquisitions en armements conclues, avec des sociétés turques, américaines et israéliennes, pour la plupart des hélicoptères de combat, des armes de guerres, des munitions et autre drones, que le Maroc n'ait pas accéléré la cadence de sa course à l'armement. De plus il vient d'enclencher une nouvelle dynamique avec la production d'armements sur ses terres. Norinco a, dans ses ferme intentions, après le lancement à Rabat de l'usine de fabrication d'armes et de fabrication de matériel, de faire autant à Marrakech, dans le but de gonfler son arsenal militaire avec l'ouverture d'une autre succursale dans les plus brefs délais. Cette effervescence se complète avec les réalisations dans l'infrastructure aéronautique qui concernent principalement la cinquième et la sixième base aérienne située à Benslimane et à Benguerir où il est prévu de concevoir et construire un système d'arrêt d'aéronef et un système de gestion de la sécurité, une zone de nettoyage pour tester les moteurs d'avion, ainsi qu'un simulateur de vol et de sécurité et des installations de stockage sécurisées. Le Maroc envisage l'acquisition du Dôme de Fer Ces démarches interviennent avec une nouvelle escalade d'hostilités dirigée volontairement par Alger et qui exaspère à son paroxysme la tension entre le Maroc et l'Algérie. On le voit à chaque jour que Dieu fait le régime kaki imagine un nouveau scénario histoire d'animer sa flamme provocatrice. Aussi s'armer pour le Royaume devient une option dictée par la nécessité d'atténuer, on va dire, la franche hostilité qui plus est, est déclarée d'un voisin peu soucieux de paix. Cela étant, quitte à en offenser ce dernier, les relations entre le Maroc et l'Etat hébreu sont au beau fixe et cerise sur le gâteau si l'on peut dire, notre pays compte acquérir le dôme de fer israélien produit par Rafael Advanced Defense Systems. C'est un système qui « assurerait une meilleure défense du mur de sable bordé de mines terrestres (2700 km), mais aussi des zones civiles et militaires à caractère sensible », précise le Jerusalem Post. Il se murmure que cela pourrait se faire avec la venue du ministre de la Défense Benny Gantz prochainement alors que les relations s'intensifient après la normalisation des relations en décembre dernier. Gantz signera, selon des rapports étrangers, des accords de coopération en matière de défense, notamment des plans pour développer une industrie nationale pour produire des munitions flottantes – des drones qui peuvent rester en vol au-dessus d'une cible. Les relations militaires entre le Maroc et Israël au beau fixe Selon Defence News et la publication française Africa Intelligence, les deux pays travaillent actuellement au développement d'un projet de fabrication de drones pour renforcer la puissance aérienne du Maroc, ajoute encore le Jerusalem Post. Rabat, selon un rapport, s'est intéressé à l'utilisation de munitions flottantes après qu'Israel Aerospace Industries ait « mis en évidence » dans un argumentaire de vente l'utilisation intensive des drones suicides Harop de la société par l'Azerbaïdjan pendant la guerre de deux mois avec l'Arménie l'année dernière. Selon un rapport de Haaretz , les relations militaires entre Israël et le Maroc impliquent principalement la coopération en matière de renseignement et le commerce d'armes. Début 2020, l'armée marocaine avait reçu des drones de reconnaissance israéliens dans le cadre d'un contrat d'une valeur estimée à 48 millions de dollars. L'accord entre les deux pays avait été signé en 2014 et clôturé via la société française Dassault.