Repartir à la conquête de marchés porteurs, dont celui des crossovers qui suscite de plus en plus l'engouement de la clientèle y compris dans le Royaume , tel est l'objectif de Mercedes-Benz. Trois nouveaux SUV viennent d'intégrer la gamme du constructeur allemand dont le GLC successeur attitré du GLK. Le GLC qui se distingue, outre sa séduisante silhouette, par un contenu technique de belle facture. PAR David Jérémie Réinvestir avec la manière le segment des SUV haut de gamme, tel est le leitmotiv de Mercedes-Benz dans le monde. Pour atteindre ses objectifs, la firme à l'étoile a sorti le grand jeu. Outre la nomenclature relative à la désignation de ces modèles, qui a été revue pour une meilleure lisibilité, c'est avec une belle triplette de nouveautés que la firme du Stuttgart revient sur le devant de la scène. On y recense le GLE qui succède au ML, un splendide SUV de luxe auquel s'ajoute le GLE coupé. On dénombre également le GLC qui vient remplacer le GLK. Le GLE qui hérite d'un gabarit nettement plus généreux que celui de son prédécesseur. Toujours est-il que l'engin hérite d'un design bien dans l'air du temps avec des lignes et des formes modernes. A noter que la fluidité de la ligne permet de revendiquer un Cx de 0,31 au lieu de 0,34, ce qui, selon la firme à l'étoile permet de réduire les émissions de CO2 jusqu'à 12 g au km. Le niveau de consommation très raisonnable du GLC est dû principalement à ses moteurs, à ses excellentes propriétés aérodynamiques et à son architecture légère intelligente. Le sens pratique Allongé de 121 mm par rapport à celui qu'il remplace, le GLC est également plus large (+ 50 mm) et abaissé de 31 mm. De nouvelles dimensions qui attestent d'une habitabilité appréciable. A l'avant, la largeur aux coudes progresse de 57 mm. A l'arrière, les jambes gagnent autant d'espace. Le coffre profite de l'allongement, puisqu'il gagne 80 litres, soit une capacité globale de 580 litres. Lorsque le véhicule est équipé des systèmes AIR BODY CONTROL et HANDS-FREE ACCESS, un dispositif qui permet d'ouvrir le hayon d'un simple mouvement de balayage du pied sous le pare-chocs, le seuil de chargement est abaissé de 40 millimètres, ce qui facilite encore les opérations de chargement et de déchargement (options). Habitacle premium A l'intérieur, le GLC hérite de matériaux de belle facture et agréables au toucher comme le cuir Nappa ou les inserts décoratifs à pores ouverts, l'intérieur parvient sans peine à recréer l'atmosphère de bien-être. Une impression renforcée par la présence d'un grand toit panoramique en verre (option). Il reprend à son compte le tableau de bord de la Classe C, avec la fameuse tablette pilotée depuis le pavé tactile situé sur le tunnel central. En fonction de la finition choisie, celle-ci joue une partition sportive (alu) ou bourgeoise (bois). La sellerie en cuir à surpiqûres rehausse le standing de l'engin qui, selon une tradition maison bien ancrée, bénéficie des dernières innovations de la marque. C'est ainsi que le GLC peut s'appuyer sur un bouquet de technologie (de série ou optionnel): détecteur de somnolence, système de pré collision, feux à LED directionnels, appel d'urgence, toit ouvrant en verre panoramique, parking semi-autonome avec caméra... Des blocs dynamiques Au chapitre des motorisations, principalement deux diesel viennent animer le GLC à savoir, le 220 d de 170 chevaux épaulé par le 250 de 204 chevaux. Des blocs qui se voient animés exclusivement par la fameuse boîte de vitesses robotisée 9G-Tronic de Mercedes. Toujours est-il que par rapport à la génération précédente, les valeurs de consommation et d'émission de CO2 ont baissé jusqu'à 19 % à puissance égale, alors même que les performances routières se sont améliorées. Quatre niveaux de finitions sont proposés dont un pack «OffRoad » pour les amateurs de hors pistes, comprenant notamment la suspension pneumatique, le limiteur de descente, ce qui offre à ce SUV des capacités tout-terrain très appréciables. Un SUV dont la grille tarifaire débute à 499.999 DH pour la version d'entrée de gamme animée par le 220 d et 525.000 DH pour son homologue animé, lui, par le 250 d. ■ Journaliste, David Jérémie est avant tout un amoureux de l'automobile et de son environnement. Une passion qu'il entretient dès son plus jeune âge. Il intègre fin 2010 les Editions La Gazette au sein desquelles il a en charge le pôle automobile des publications Challenge, VH Magazine, du portail tomobile.net et de l'émission radio Tomobile Magazine diffusée sur MFM Radio. Parcours universitaire : BTS communication des Entreprises suivi d'un cursus de formation en journalisme. Activité préférée : Conduire Citation préférée : «Rien ne sert de courir, il faut partir à point». Jean de La Fontaine Mon film préféré : «La Haine» de Mathieu Kassovitz Suivez moi sur Facebook : http://www.facebook.com/david.jeremie.7 Suivez moi sur Twitter : http://www.twitter.com/jdavid_olivier