Grande était la surprise de ceux qui étaient chargés de préparer l'émission « le dîner des cons », surpris par la faiblesse avérée du nombre des internautes qui suivent habituellement ce genre d'émission, bien que la partie postée dernièrement sur YouTube soit la sixième de cette série, à laquelle ils ont choisi des titres et des slogans à connotation négative et qui dénotent, pour un oeil exercé, un tempérament bassement atrabilaire. Le groupe qui pilote ce programme est composé de deux personnes, Amine belghazi et youssef El mouden, auxquels se joignent habituellement quatre ou cinq invités estampillés nihilistes, qualificatif par lequel on désigne toute personne qui ne décèle nulle beauté dans l'univers, qui ne voit que la moitié vide du verre, qui scrute la vie tout en noir, autant de raisons pour lesquelles sociologues et psychologues les désignent sous l'appellation de » voyant aveugle. » Reda benchemsi, journaliste de son état, avait affirmé tout en enthousiasme, lors du dernier épisode dudit programme, qu'il était plus nihiliste que tous les participants, plus nihiliste que tous les marocains, brandissant en guise de preuve le fait que ce qualificatif, peu glorieux, lui avait été attribué par l'ex ministre de la communication, M. Khalid Naciri . Que les lecteurs de ce site me permettent donc de m'adresser à M. Benchemsi en le désignant par ces qualificatifs qu'il s'est choisis lui même, en l'occurrence, le con et le nihiliste. Qu'il acquiesce à ma demande de recourir à d'autres termes tels le malfaiteur et le menteur. Je lui expliquerai par la suite quelles en étaient les raisons. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Benchemsi est à présent directeur de la communication au sein de « Human Rights Watch », organisation qui s'occupe des droits de l'homme de par le monde. Il a rejoint cet organisme après les cuisants échecs qu' il a essuyés dans ses projets dans le domaine de la presse, et après ses multiples tentatives infructueuses pour s'octroyer un salaire consistant en tant que correspondant de certains média internationaux. Sur ce point précis, il faut dire que Benchemsi à abreuvé l'organisation précitée de fausses informations sur lui même et sur son parcours professionnel, raison pour laquelle je le taxe de menteur, puisqu'il a enjolivé son curriculum vitae, tel qu' il est rapporté dans le site de cette organisation, par des données toutes aussi erronées les unes que les autres, du genre qu' il était le fondateur des revues » Tel Quel » et « Nichane », publications qu'il a présentées comme étant les plus répandues au Maroc, alors même que leurs ventes ne dépassaient guère quelques milliers d'exemplaires. Dans son CV , le menteur Benchemsi s'est ostensiblement departi de son identité, de sa langue et de l'histoire de son pays, comme s' il voulait se démarquer de tout lien avec sa patrie. Il y atteste en effet, qui il avait acquis sa formation à l'institut des études politiques à Paris, et que sa langue parlée et écrite est celle de Voltaire, alors même qu'il parle et écrit en langue arabe au même titre que le dialecte marocain. Benchemsi, le con, a donc renié sa patrie, sa langue, et la société toute entière, comportement quasi inévitable quand on sait que l'intéressé a suffisamment enduré tout au long de son éducation, avant de subir le choc traumatisant du suicide de sa mère. Les rapports établis sur ce drame, indiquaient que la défunte était dans un état d'ébriété avancé, en compagnie de son amant, à bord d'un véhicule 4×4, dans un endroit élevé du niveau de la mer au quartier Al-ank à Casablanca. Hélas les échanges intimes entre les deux amants ne tarderent pas à dégénérer en un différend sérieux, si profond que même les pêcheurs opérant aux alentours avaient perçu et suivi. Ce à la suite de quoi la défunte avait foncé à vive allure plongeant son véhicule en plein océan avec l'amant à bord. Ce qui est étrange dans ce drame, c'est que la défunte qui a pu a la nage, rejoindre le rivage fait de rochers qu'elle a mis à profit pour se maintenir au dessus des eaux, a refusé tout secours. À l' adresse des pêcheurs sur place qui lui avaient tendu une corde pour la secourir, elle a répondu par des insultes, leur intimant l'ordre de ne pas l'indisposer, avant de disparaître, emmenée par une forte vague au fond de l'océan. Notre propos n'a guère pour objectif une quelconque intention de remuer les souffrances de notre collègue, mais plutôt d'attirer l'attention sur le fait que le nihilisme et le comportement atrabilaire, conduisent tout droit au désespoir, et, chemin faisant, qu'à dieu ne plaise, aux tentations suicidaires. Les personnes versées dans l'histoire de la psychologie et de la philosophie, attestent qu'un grand nombre de ceux qui professent le rite nihiliste au 19ème siècle, n'ont pu s'affranchir de l'acte suicidaire . C'est pour cette raison que l'écrivain Huston Nancy a publié a leur sujet, un ouvrage «les professeurs de desespoir » citant à titre d'exemple le philisophe russe Nikolaï Tchernychevskiqui qui avait un jour vociféré : » que faire ». L'homme de lettres russe Fiodor Dostoïevskilesles avait décrits dans son ouvrage « Les Carnets de la maison morte » comme étant des jeunes passionnés pour la mort et l'acte suicidaire . Et puisque nous y sommes, nous sommes tout naturellement porté à rappeler à notre collègue, tout étourdi d'esprit qu'il est, que des études psychologiques ont démontré tout récemment, que les sentiments qui se nourrissent du nihilisme et du désespoir, s'héritent parfois du père ou de la mère, et que le suicide lui même, en tant que réaction personnelle et psychologique, est également héréditaire. Il y a deux ans, l'organisation mondiale de la santé avait rendu public un rapport où il est dit que si le suicide pour des raisons héréditaires est moins fréquent au Moyen-Orient pour cause de convictions religieuses, et est par contre dangereusement répandu parmi les personnes dont l'un des parents est passé à l'acte suicidaire. Partant de ce constat, elle avait prodigué ses conseils à toute personne présentant des symptômes de nihilisme et de désespoir, soit dans ses écrits, dans ses sentiments, ou encore dans son discours, de se faire ausculter au plus vite par des spécialistes en la matière. Dans ce même ordre d' idées, le drame de l'éminent homme de lettres, prix Nobel de la paix, Ernest Hemingway, auteur du roman « Le vieil homme et la mer", est autrement plus édifiant. Son épouse qui l'avait surpris un jour dans un état hystérique, fusil à la main, n'avait pu le sauver. Les secouristes auxquels elle avait fait appel n'ont pu arriver à temps. C'était là aussi un comportement à caractère héréditaire, dès lors que les faits établis indiquaient que son père avait mis fin à sa vie de son propre gré, et que sa soeur et sa petite fille avaient subi le même sort. Les spécialistes imputent cet état de fait, à un excès de fer dans le sang. Lors de sa tentative de suicide, la mère de Benchemsi avait crié à l'adresse de l'un de ceux qui tentaient de la secourir: » fous moi le camp espèce de con ». Son fils lui emprunte à présent ce même qualificatif pour se l'attribuer lors du » dîner des cons ». Au prochain message, nous interrogerons Benchemsi sur le sort des huit millions de dirhams qu'il avait perçus à la vente de la revue Tel Quel . Les pouvoirs publics sont appelés à investiguer là dessus, d'abord pour récupérer leur dû, et ensuite pour jeter la lumière sur l'usage fait de ce montant qui a curieusement disparu ne laissant nulle trace dans les circuits financiers habituels. Au grand jour, nous lui étalerons ses quatres vérités lorsqu'il était membre du cabinet de l'ex ministre de l'environnement, le défunt Ahmed Iraki, et lui expliquerons par quelle magie noire il s'est subitement métamorphosé pour braconner en toute hystérie dans l'opposition. Nous lui opposerons par ailleurs, les témoignages de ses amis qui n'ont pu trouver explication à son comportement à leur égard, et à sa conduite à l'endroit des journalistes qui l'avaient côtoyé dans l'exercice de leurs fonctions, sinon qu'il est atteint d'une maladie psychique quelconque. Nous autres, en tant qu'observateurs du comportement de ce groupe de nihilistes, il nous est difficile de soumettre à discussion les thèmes évoqués durant ce programme, tant les membres dudit groupe étaient dans leur ensemble dans un etat d'ébriété avancé, brandissant ostensiblement bouteilles de vin et cannettes de bière aux yeux de leurs lecteurs, piétinant au passage les sentiments des internautes. Ce faisant, ils ont donné d'eux-mêmes, l'image de pervers qui longent artères et avenues, bouteilles d'alcool à la main , un comportement qui tombe sous le coup de la loi, au motif accusatoire d'ivresse publique. Et puisqu'un esprit sain ne peut épiloguer avec un individu immature, soit parcequ'il est dement, ou qu'il est sous l'effet de stupéfiants, il n' y a pas lieu, à priori, de répondre aux palabres qui meublent leur discussion. Comme je l'avais souligné auparavant, les participants au » dîner des cons « , s'étaient présentés sous l'aspect de personnes impudiques, aux tendances perverses avérées, occupant une pièce étroite, assombrie par un épais brouillard fait de fumée de cigarettes. Ils y sont restés plusieurs heures durant. En témoigne la vidéo qu'ils ont postée sur YouTube qui s'étale sur plus d'une heure et demi. Si l'on comptabilise tout le temps qu'il a fallu pour supprimer ce qui doit l'être, le temps du montage et des multiples va et viens en direction des toilettes, l'effet de la bière aidant, cela ressemble fort bien à une éternité. Je suis bien loin de croire un seul instant, que les marocains puissent admettre que ces individus aux moeurs dépravées soient l'exemple à suivre pour leurs enfants, encore moins la référence à prendre en compte pour la jeunesse marocaine. Ce qui conforte notre propos, c est leurs tenues vestimentaires. Certains parmi eux ne se lavent même pas, d'autres ne prennent guère soin de leur chevelure abondante, de leurs barbes plus que fournies. Que dire de leur hygiène dentaire? Comment se sentent ils dans une pièce si étroite, dépourvue de bouches d'aeration, ne sentant que l'odeur des cigarettes, des gaz qu'ils dégagent eux mêmes du fait de la consommation de boissons gazeuses. Que dire des odeurs des toilettes qui subissent leurs assauts en continu. En les observant dans un tel état, nul ne peut ne pas se rappeler les Beatles, ce groupe qui avait ensorcelé un grand nombre de jeunes durant les années soixante-dix, avant de connaître un destin dramatique. Assurément, ce serait une lapalissade que de rappeler cette évidence, à savoir que les bousiers qui se bousculent sans arrêt sur terre, se nourrissant des excréments d'animaux et de différentes autres saletés, finissent par être piétinés à mort par ces mêmes animaux ou par tout autre être vivant.