La Délégation générale de l'Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) dément catégoriquement les allégations concernant un détenu à la prison locale de Taounate, dans le cadre des événements d'Al Hoceima, selon lesquelles le prisonnier aurait été victime d'agression, de torture ou de violence, affirmant qu'il bénéficie, à l'instar des autres détenus, de tous les droits garantis par la loi. Dans une mise au point parvenue à la MAP, la DGAPR affirme qu'en réponse aux allégations relayées par les réseaux sociaux et certains sites électroniques concernant le prisonnier (A.Z), détenu à la prison locale de Taounate, l'administration de cet établissement pénitentiaire nie catégoriquement que ce détenu aurait été victime d'une quelconque agression, torture ou de violence soulignant qu'il bénéficie, à l'instar de l'ensemble des prisonniers, de tous les droits garantis par la loi. La direction de l'établissement affirme que tous les détenus bénéficient quotidiennement des trois repas qui leur sont fournis par la société déléguée, conformément aux conditions et programmes imposés par la DGAPR en termes de qualité et de quantité, et ce sous surveillance et contrôle. De même, la sœur du prisonnier a confirmé, dans un commentaire sur ces allégations, publié par les réseaux sociaux, que son frère n'a pas été torturé par les employés de l'établissement.