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"Dbibina" : Soulaiman Raissouni, hier violeur, aujourd'hui menteur aussi
Publié dans Barlamane le 15 - 09 - 2024

Dbibina est un fin connaisseur de la scène politique nationale, et à ce titre, il a connaissance de ce qui se produisait au Maroc dans ce qu'on avait ensuite appelé les années de plomb. À cette époque-là, se souvient Dbibina, des militants de tous bords se retrouvaient en prison, subissaient des conditions de détention difficiles, passaient des années en privation de liberté, et puis sortaient ; et quand ils sortaient, ils étaient auréolés de leur militantisme, de leurs idées, de leurs débats.
Puis Dbibina fait un saut de plusieurs décennies, et se retrouve dans ce Maroc d'aujourd'hui, ce Maroc où, quoi qu'en disent les éternels détracteurs du royaume, le droit est respecté, le droit de chacun, et où il ne suffit pas de se dire journaliste pour être acclamé, glorifié. Ça, Soulaiman Raissouni ne l'a jamais compris, et ne le comprendra jamais. Alors il insulte, il attaque son pays et ses institutions, sa justice, son roi, alors qu'il n'est lui même qu'un vulgaire violeur. Il a en effet agressé et violé un jeune homme, militant LGBT, qui a défendu ses droits devant une cour de justice ; et Raissouni a été condamné pour ça. Dbibina ne voit vraiment pas ce militantisme et cette gloire dont veut se revêtir cet individu qui se dit journaliste.
Alors, à défaut de convaincre, Raissouni ment. C'est plus facile, et il y aura des gens pour le croire, comme son ami Francisco Carrion, qui se prend pour l'ennemi irréductible du Maroc en se targuant de soutenir le ''polisario''. Pour quelles raisons ? Rien d'intelligible, sauf que Carrion, qui évolue dans la même galaxie que ses ''collègues'' Cembrero et Lmrabet, déroule des non-sens, des contre-vérités, des insultes faciles à gober pour ceux qui vivent encore dans les années 70 du siècle dernier.
122 jours sans manger…
Dbibina pense à tout cela en lisant le communiqué publié par la direction de l'administration pénitentiaire, et se souvient de ses doutes sur cette grève de la faim auto-annoncée par Raissouni qui déclare sans craindre le ridicule une durée de 122 jours... 122 jours sans manger, en buvant très peu et en ingérant du sucre de temps en temps ! Il faut croire que cet homme est stupide, estime Dbibina, car en mentant et en ingérant des compléments alimentaires pendant sa ''grève'', comme l'affirme la direction des prisons, il a oublié que dans un établissement pénitencier, il y a des caméras, qui enregistrent tout. L'administration pénitentiaire est tout à fait disposée à les confier à un organe compétent pour démêler le vrai du faux.
Oui, se répète Dbibina, Raissouni doit être vraiment stupide car, dans sa volubilité post-carcérale, voilà qu'il nous sort l'histoire de ce roman qu'il aurait selon lui écrit en prison et qui lui a été méchamment confisqué par les impitoyables et féroces gardiens de prison. Là encore, l'administration pénitentiaire, toujours transparente et n'ayant rien à cacher, admet avoir confisqué des écrits et explique qu'il ne s'agit pas d'un roman, mais d'écrits subversifs, insultants, injurieux, qui ont été remis au parquet. Là aussi, l'administration se dit prête à confier ces écrits à une commission spécialisée qui se prononcera sur la nature du texte.
Croyant marcher sur les pas de ses illustres prédécesseurs militants politiques, journalistes, avocats, enseignants, qui ont vraiment milité pour la grandeur de ce pays, Raissouni s'aperçoit qu'ils sont bien au-dessus de lui. Alors, il continue de mentir. Il instrumentalise sa supposée ''grève de la faim'' pour ne pas se rendre à son procès et y affronter l'homme qu'il a agressé et violé, parce que, justement, il l'a agressé et violé ! Il va dire à qui veut l'entendre – il y en a toujours – qu'il serait prêt à renoncer à son métier de journaliste si Taoufik Bouachrine est libéré. Même Ghandi n'y aurait pas pensé, à celle-là !
Et bien entendu, il y a des gens qui le croient, qui le soutiennent, qui portent son cas. Mais Dbibina, en fin observateur qu'il est, relève que très peu de marocains s'intéressent à son affaire ; ils voient le Maroc avancer et ils avancent avec lui, malgré les inévitables problèmes qui peuvent se poser et qui se résolvent les uns à la suite des autres. Et à l'étranger, les gens sont aussi occupés à autre chose. Les gens ici et ailleurs ont autre chose à faire que d'écouter un violeur qui essaie de se refaire une virginité.
Seuls des types comme Cembrero, des exilés marocains en mal de leur pays et cherchant le clic, et bien entendu RSF, le croient encore. Et bien évidemment aussi le jeune et si immature Francisco Carrión qui, à court d'arguments et à défaut de preuves, s'en prend aux journalistes marocains, traités de chiens qui aboient, ce qui lui vaut une poursuite judiciaire pour injure.
Et Dbibina, concernant Raissouni, conclut : que veut-il, pourquoi, après avoir été gracié, se comporte-t-il ainsi ? Se pense-t-il intouchable ? Le violeur se croit-il sorti d'affaire alors même qu'il continue d'insulter et de calomnier ? Dbibna se dit que, finalement, il faut ignorer ce type comme l'ignorent les Marocains, confiants dans leur justice. S'il insulte, injurie, diffame ou reviole, la loi aura son mot à dire, c'est tout !


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