La réunion, qui a rassemblé les six syndicats les plus représentatifs des représentants du ministère de l'Education nationale, de la formation professionnelle, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ainsi que des représentants de professeurs contractuels, a seulement permis d'examiner quelques aspects du dossier des enseignants contractuels. La réunion, qui a eu lieu vendredi sans la présence du ministre de l'Education nationale, de la Formation professionnelle, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Said Amzazi, n'a pas répondu à la demande principale et fondamentale des professeurs contractants, à savoir intégrer la fonction publique conformément au statut des fonctionnaires du Ministère de l'Education nationale. Cette revendication a été remise à une date ultérieure qui n'a pas encore été précisée, selon des sources syndicales. Le Ministère de tutelle a répondu à la demande du Comité national de coordination des enseignants auxquels la contractualisation a été imposée, dont barlamane.com a pu examiner le contenu, d'examiner les termes « employés » et « collaborateurs » employés dans l'article 11 de la loi n ° 00.07 et de modifier l'article 11 de la même loi en utilisant le terme « personnel des académies », et à la place d'employés ou collaborateurs. En ce qui concerne les postes budgétaires, le ministère a proposé l'adoption du même mécanisme utilisé dans la gestion du budget général et les dépenses de personnel ainsi que la création de postes budgétaires dans les Académies régionales d'Education et de Formation (AREF) pour les fonctionnaires. Et ce, avec l'attribution de numéros de baux aux employés des (AREF) par la Trésorerie du Royaume, ce qui est applicable pour les employés du secteur ainsi que les employés de l'Etat. Selon la même source, le ministère a suggéré aux professeurs de bénéficier de mise en disponibilité temporaire selon les mêmes modalités et formalités en vigueur pour les fonctionnaires du secteur, ainsi que de la mobilité administrative et professionnelle et du hamgement de cadre. Les enseignants contractuels sont autorisés à participer au mouvement de permutation au sein de la région, pour des raisons de santé, indique le même rapport, qui note que le ministère a fait des propositions concernant la retraite, l'inscription et l'examen de réadaptation professionnelle.