L'ADN a parlé. Plus de place au mensonge et au doute. La preuve irréfutable est désormais acquise après que les tests scientifiques ont dit leur mot. Une sentence sans appel. Finie l'imposture. Shéhérazade El Fechtali a confirmé par ces tests qu'elle est bel et bien la mère biologique de Hicham Mandari… L'ADN a parlé. Plus de place au mensonge et au doute. La preuve irréfutable est désormais acquise après que les tests scientifiques ont dit leur mot. Une sentence sans appel. Finie l'imposture. Shéhérazade El Fechtali a confirmé par ces tests qu'elle est bel et bien la mère biologique de Hicham Mandari, retrouvé assassiné en août dernier dans la localité de Mijas en Espagne. Cette femme meurtrie s'affaire maintenant pour récupérer la dépouille de son fils pour l'enterrer dans son pays natal, à Fès. Reste à connaître les assassins de celui qui l'a reniée. Ce qui est une autre histoire. Revanche donc d'une dame dont l'enfant, qui a très mal tourné au point de ne plus le reconnaître, a prétendu qu'il était le fils de Feu Hassan II et de Farida Cherkaoui. Grossière affabulation d'un jeune homme en rupture de ban, manipulé par des nihilistes de tous bords et jamais à court de coups de bluff et de combines pour se faire remarquer et attirer les feux des projecteurs sur sa personne aux desseins obscurs. En venir à nier ses parents biologiques, ceux qui l'ont mis au monde et élevé, relève plus de la schizophrénie. C'est quelque chose qui dépasse l'entendement. Plus grave encore, les gazettes au Maroc, en France, en Espagne et en Algérie ont relayé le mensonge éhonté de Mandari non pas par devoir d'informer –loin de là- mais dans une volonté délibérée de ternir l'image du Royaume et de mettre en difficulté ses institutions. Cette façon de faire participe de cette idée reçue confinant à l'obsession qui anime certains milieux hostiles au pays selon laquelle l'information le concernant ne se “vend“ que si elle est déformée, biaisée, caricaturée …Peu importe qu'elle soit crédible, il suffit qu'elle donne matière à dénigrer le Makhzen, comme ils disent, et à gêner les symboles du pays. La vraie actualité nationale, les chantiers de développement ouverts ici et là, les progrès réalisés dans différents secteurs et les multiples réformes engagées que ce soit dans le domaine social, économique ou politique, ne les intéressent pas. Ce qui les intéresse, ce sont les nouvelles où le faux journalisme fonctionne à plein régime. Au besoin, quand on n'a rien à se mettre sous la dent, on va même jusqu'à fabriquer de toutes pièces des histoires et de pseudo-scoops. C'est ainsi qu'on a eu droit, depuis l'avènement du nouveau règne, à l'affaire du capitaine Mustapha Adib, à la fumisterie du comité des officiers libres avec le lieutenant Abdelilah Ichou et aux divagations de Hicham Mandari. À qui le tour ? La ficelle est grosse, on se sert à chaque fois d'individus en rupture de ban dans l'espoir d'en faire des opposants au régime. Sans résultat. Toutes ces affaires, présentées au début comme des enquêtes sérieuses, se sont avérées être de faux sujets montés en épingle, puisqu'elles ont fini les unes après les autres par se dégonfler comme une baudruche. Le Maroc a toujours été la cible d'une guerre médiatique que lui livrent sur fond de mauvaise foi des lobbies anti-marocains récemment rejoints par des groupes locaux formés d'une poignée de frustrés. Les agissements de ceux-ci, à défaut d'ébranler la stabilité du pays, nous informent sur les intentions de leurs auteurs. Créer la zizanie là où il n'y a qu'assurance et détermination.