Chassez le naturel, il revient au galop. Les cafés et restaurants de Casablanca ont repris leurs vieilles habitudes. Ils occupent de nouveau les espaces relevant du domaine public. Chassez le naturel, il revient au galop. Les cafés et restaurants de Casablanca ont repris leurs vieilles habitudes. Ils occupent de nouveau les espaces relevant du domaine public. Les terrasses, qui avaient disparu du temps où Driss Benhima était wali du grand Casablanca, poussent de nouveau comme des champignons. L'anarchie de l'occupation du domaine public ne semble pas préoccuper les autorités locales. Les restaurateurs en profitent pour réduire, chaque jour davantage, l'espace des passants et disposer leurs tables.