Samedi matin, avant la levée du corps – et son transfert de Rabat à Casablanca au cimetière Achouhada-, de notre regretté camarade Mounir Rachid, décédé, vendredi à l'hôpital militaire de la capitale, le Secrétaire général du PPS, Mohamed Nabil Benabdallah, accompagné par d'autres membres de la direction du parti, s'est déplacé au domicile familial du défunt à Rabat, pour présenter les condoléances du parti, face à cette perte cruelle, à l'ensemble de la famille dont notamment à ses deux enfants, Marouan et Youssef, et à son frère Karim, présents,. Le cortège funèbre est arrivé au cimetière Achouhada juste avant la prière de dohr et les funérailles se sont déroulées en présence des membres de sa famille, notamment ses deux enfants, Youssef et Marouane, de sa campagne, Souad Lyoussi, de ses frères Karim, mais également Samir et Ali arrivés de l'étranger juste avant l'enterrement, ainsi que de nombreux membres de la famille éplorée. Une délégation de la direction du Parti du progrès et du socialisme était également présente à ces obsèques, conduite par Ahmed Zaki, membre du bureau politique, de Loubna Sghiri, membre du comité central, députée et présidente du secteur des avocats du parti, de Noureddine Berrechid et Ahmed Boukioud, membres du comité central, à côté de Me Abdellaziz Benzakour, ancien bâtonnier et ex-président de l'instance du « Médiateur », qui a tenu, malgré l'âge et l'état de santé, à assister aux obsèques du défunt, qui faisait partie de son cabinet d'avocats, ainsi que de nombreux (ses) avocats (tes). Une délégation de la section provinciale de Aïn Chok, au sein de laquelle le défunt militait, était dirigée par le camarade Hassan Ahrar, membre du bureau local. Signalons que de nombreux amis (es) et ex-codétenus du regretté défunt étaient également présents, dont on peut citer notamment Salah Al Ouadie, Asmae Al Ouadie, Aziz Illigh, Fatima Chamkhi, Abdelkrim Lamlih, Mohamed Lamrani (CDT), Mohamed Annouri (PAGS) Taïbi Adlouni, élu communal de Aïn Chok, etc. Feu Mounir repose tout près de sa mère Fatima Jamaï, décédée deux mois auparavant. Qu'ils reposent en paix.