Au moment où l'industrie du tourisme, notamment en matière d'aérien, respire crescendo, en raison de l'entrée en lisse de rotations fréquentes sur Agadir en provenance de nombre de pays émetteurs, on croit bien savoir que des instructions du département de tutelle tombent tel couperet faisant part d'annuler ces vols low cost. Une décision qui révolte aussi bien les professionnels que les institutionnels don't l'éclaircie du tourisme dans la région accuserait un coup cinglant. On comprendra bien les motifs narquois de la mise à l'arrêt de ces conventions subventionnées en faveur du secteur, en relation certaine depuis déjà un bon bout de temps. Le réseau qui prédomine dans le secteur aérien national dont les intérêts convergent voit encore du mauvais œil la première station balnéaire du pays, tout en gardant le même volume dans son homologue ocre. Un traitement ségrégatif qui enrage de plus belle, les opérateurs, les décideurs et l'ex élus de la victime poignardée sans vergogne. Le fait à penser à optimiser l'élan de commercialisation avec un grand pays comme la Chine ne saurait se faire au détriment de la relance d'une métropole ressuscitée tel Agadir. On apprendra que, de puishier, on va à la rencontre des centres de décision pour fustiger cette mesure drastique à l'encontre de la destination d'Agadir en pleine renaissance. L'idée de les pousser à renoncer à cette bourde incivique, fomentée pour des calculs réducteurs. Il serait judicieux également que toutes les composantes du tourisme régional et leurs structures fédératives, en particulier le Conseil Régional du Tourisme, sortent de leur tanière et mettent du ton face à cette maladresse qui porte préjudice au secteur. On ne peut alors que condamner encore une fois cette manœuvre déplacée, au moment où toutes les énergies se rassemblent pour redorer le blason d'une ville touristique au potentiel indéniable.