Contrairement à ce qu'a rapporté un article de presse, hier, accompagné par quelques sites, le candidat du Parti du progrès et du socialisme a été l'objet d'une manœuvre politicienne qui ne dit pas son nom. Contacté par nos soins, Bouazza Lamrami, tête de liste PPS à Khouribga, n'est ni arrêté, ni poursuivi par la Justice, comme le voulait la propagande mensongère, orchestrée par des rivaux politiques, contre cet ancien cadre de la Justice, ancien président de la région de Chaouia Ouardirha, député sortant et acteur associatif. La vérité dans cette affaire, qui n'en est pas une, est que trois individus, appartenant à un parti concurrent, l'avaient coincé dans sa voiture à Oued Zem et appelé les services de police, sous le motif fallacieux qu'il « corrompait les électeurs ». Une fois sur place, la police n'a pas tardé à comprendre qu'il s'agit d'une manœuvre politicienne, surtout que le candidat du PPS a demandé aux agents de vérifier et de consigner dans le procès verbal qu'il n'avait pas d'argent sur lui. Ni dans sa voiture dont il avait permis de la fouiller. Un procès verbal a été dûment rédigé et « l'accusé » a continué son bonhomme de chemin, tout en assumant sa responsabilité face à ceux qui voulaient le voir à genoux … Il portera plainte contre ses trois détracteurs, qui avaient déjà des démélés avec la Justice pour « dénonciation mensongère » et condamnés à des peines avec sursis et des amendes de 30 000 dirhams… Quant au prétendu témoin d'un acte de corruption qui n'existe pas, ce n'est autre qu'un fameux maître chanteur au service de milieux politiques, qui l'instrumentalisent, d'ailleurs déjà condamné à trois mois de prison dans une précédente affaire pour tentative d'extorsion d'argent… Voilà un exemple concret sur comment des dépravateurs de la cause politique et électorale agissent pour tenter de détruire un rival politique.